RÉCUP ET DÉCRASSAGE ESTIVAL À MAGUDAS...

Et coucou Les Jalles,

Alors que les marcheurs crapahutaient plus de km que les coureurs bravant les attaques de moustiques et les enjambées équilibristes sur bois flottants... les coureurs effectuaient leur boucle express sur une asphalte brossée au peigne fin.

A nouveau une 1ère place acquise sur une piste athlétique par Jean ! Mais le podium revient sans aucun doute à Martine & Alain pour leur accueil à Magudas City où nous avons soigné abdos et crampes puis passé un après-midi récupérateur familial ayant ravi grands, moyens et tout petits !

Merci à tous les participants et à très bientôt.

Agostinho

SUR LES TRACES D'UN VOYAGE DE NOCES... ... DANS LES PYRÉNNÉES ENSABLÉESSS...

C'est sous la pluie et la grêle que le massif landais nous a accueillis, plantés devant le camping des Tourterelles de presque 1000 emplacements totalement désert... mais la barrière s'est magiquement levée et nous avons pu accéder à notre cosy logis.

Martine et Rackam, malgré la voix off de Flor4G, ont réussi à arriver par un autre circuit du labyrinthe... Quant aux jeunes Marika et Wil, ils rodaient leurs pneumatiques autour des rond-points et demi-tours... pour arriver à l'heure... du dessert des traileurs.

16h, départ humide mais sous le soleil !!! Bienvenu puisqu'on se dirigeait vers la plage où on a pu zigzaguer au bout des vagues de mousse volante. C'était sans compter un sacré dénivelé dès les premiers km qui suivait des sentiers dignes des bouquetins d'un paysage pyrénéen bien trop ensablé ! Ce mélange de couleurs, odeurs et sensations vous garde en éveil tout du long avec les passages au milieu des fougères oranges, des bosquets d'ajoncs en fleurs qui vous cinglent les mollets, des tapis d'aiguilles de pins qui vous rendent bondissants pour ensuite mieux vous enliser dans les pare-feux sablonneux. Difficile même de s'arrêter pour ramasser les pommes de pins luisantes tellement les bouquets de bruyères vous caressent le dessous des bras, bon ok je parle pour moi...

Avec un excellent pastis landais, un buffet dînatoire accompagné d'une banda énergisante a clôturé cette journée où notons-le, les marcheurs ont fini leur parcours vers 20h00 donc à la frontale !

Un petit décrassage le lendemain matin au bord du lac de Léon, le long du Courant d'Huchet, nous ramène sur l'itinéraire du voyage de noces de nos randonneurs Martine et Alain pour lesquels de fraîches bulles s'imposent, sans oublier le rituel du match de ping-pong improvisé sur des tables de pique-nique... rien de tel pour éliminer les courbatures !

Vous l'aurez compris, cette manifestation mérite bien le détour, même si les cuisses en gardent le souvenir toute la semaine suivante !

Agostinho

AVEC LUI ON NE SE SERAIT PAS DÉGUEULASSÉ LES GROLES... !

Enfin un week end de libre pour pouvoir participer à une rando avec les copains de courir.

Quinsac fut une réussite totale tant à l'organisation et le balisage impec, que la journée passée avec les potes.

Le chemin a paru court tant les langues se sont déliées tout au long de la matinée. Le repas pris en commun fut des plus conviviaux. Quant à Jocelyne, son invitation pour prendre le dessert chez des amis a du se transformer en apéro du soir !

Vivement la prochaine date libre pour recommencer.

Jacky

SUR LES TRACES DES SANGLIERS...

Bonjour à tous,

petit commentaire sur notre marche de Salles : comme d'habitude, l'ambiance du Groupe (nous étions 7 marcheurs) est toujours excellente ! Sur notre chemin, nous avons pu encourager nos 2 coureurs, mais à certains endroits, c'était limite : j'ai vu Jocelyne s'accrocher à un arbre pour laisser les coureurs passer et nous sommes restés coincés à l'entrée d'une palombière avec 2 organisateurs qui n'étaient pas du tout d'accord sur le tracé de notre parcours...

Bref, nous sommes enfin arrivés, sous un soleil magnifique, même si Alain râlait un tout petit peu sur notre perf... on fera mieux la prochaine fois, c'est sûr et certain ;))

Bien à vous tous.

Marika

J'ai failli rentrer chez moi après avoir récupéré le dossard et la bouteille ;-) tellement il faisait froid. J'avais peur du froid, mais j'étais bien équipé, gants, tour du coup, bonnet,... Voleak et moi partons au coup de sifflet, quelqu'un est tombé avant le premier kilomètre. On l'aide à se relever.

Heureusement après 7 ou 8 kilomètres j'ai enfin réussi à me réchauffer. Le parcours est très beau. Le soleil nous accompagne. On passe à travers des tunnels ou il faut baisser la tête. On a traversé le bois par des petits chemins qui montent et descendent, beaucoup de virages et sauts d'arbres, chemins glissants qui ont fait que au 15ème j'embrasse la boue, rien de grave heureusement.

L'arrivée est venue très vite, car je m'attendait à 21 km mais finalement ma montre ne marque que 20,4 km.

Fernando

                                       À CHACUN SA DISCIPLINE... 

         JOYEUX NOËL    À TOUS ! 

LES COUREURS

Les coureurs sont des amoureux - Comme tels, ils sont très heureux.

Très excités, ils vont courir - Pour eux véritable plaisir.

Éveillés, tous leurs sens vont être - Ils vont leur sembler renaître.

Les premières foulées. C’est fait. - Le corps commence à s’échauffer.

Ils sont rouges d’excitation - Et font gaffe à la tentation,

Qui leur prend de vite courir. - Ils savent trouver le plaisir.

Une véritable extase ! - C’est toujours lors d’une phase,

Quand le corps devient machine - Si de gros soucis les minent,

Oubliés, partis, envolés. - Ils ont envie de crier « olé » !

Ils sentent circuler leur sang - Ne se font pas de mauvais-sang.

Très enfiévré est leur cerveau - Courir, maintenant le coup ça vaut !

Quand ils décident d’arrêter - Ils savent ne pas se hâter.

D’abord, il faut récupérer - Et ils s’amusent à errer.

Leurs pieds foulent très lentement - Le sol, et se sentent « amants ».

C’est l’harmonie « corps et âme » - Comme dans l’amour, ils se pâment.

Simone

Comme il y a l’appel du large, il y a l’appel des profondeurs, des cimes.

L’appel au secours et celui de partir…

Nous sommes tous influencés par notre éducation, nos parents, nos amis, par les exemples, les paroles entendues dans l’enfance…

Nous vieillissons et nous changeons de corps et d’esprit.

C’est bon d’aller loin dans la recherche de l’inconnu, mais il est vital de connaître ses propres limites.

Toujours rétablir l’équilibre pour se sauvegarder du néant.

Quelques passages d'un texte écrit en 2000 et lus par Simone