" ANNIVS DE DÉC 24 "
Lundi 9 Wilfrid |
Mercredi 11 PAlain |
Vendredi 6 Josianne |
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Lundi 9 Wilfrid |
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Vendredi 6 Josianne |
LES BOUCLES LANTONNAISES :
Après « Mais où est donc passée la 7e Compagnie », puis « On a retrouvé la 7e Compagnie », enfin « La 7e Compagnie au clair de lune » c’est maintenant « Nous avons égaré la 7e Compagnie ».
Et pourtant la journée semblait avoir bien commencé car, malgré une belle averse prise sur la route, c’est avec le soleil revenu que nous sommes arrivés au complexe sportif de Cassy pour participer aux Boucles Lantonnaises. Je ne dirai pas (pour une fois) mais tout le monde arrive au bon endroit et bien avant le départ.
La famille T. (M et A) ayant récupéré les dossards et nous les ayant remis, les problèmes commencent : 1er dilemme, nous sommes inscrits comme marcheurs de 12 km, (par notre grand chef), sur une course nature de 9, pas trop grave. Mais nos dossards ont une couleur donné pour la course. Donc il va falloir avec nos grosses chaussures, nos bâtons pour certains, et couverts contre la pluie nous aligner avec les concurrents de la course (on ne va pas passer inaperçus).
Plus grave en comptant, pour le premier, 3mn au kilo celui-ci terminera la boucle, le départ étant donné à 10h, vers 10h27. Pour nous, comptant environ 4km à l’heure, soit 1km en 15mn il faudra 135 mn ou 9 quarts d’heure donc 2h et quart. Ce qui fait une arrivée à 12h 15. Evidemment trop juste pour le rendez-vous au « mess » situé au port d’Audenge, donné à 12h30. Finalement, après plusieurs tergiversations et avoir subrepticement recouvert nos dossards nous truandons et partons avec les 12km pour en faire 9, nous mêlant à la foule, mais dans les derniers.
A 9 heures, départ : 5 tics, c’est les puces des dossards qui déclenchent le chrono. Et deux, rien, ce sont les surtruands Ch et J qui eux, n’ont même pas de dossards. Une fois la marche partie les esprits se calment, la sérénité revient et nous profitons bien de la promenade.
Mais nouveau dilemme. Les 12km étant une marche chronométrée, en suivant la foule, emportés par l’élan nous marchons à 5km/h. C’est lorsque nous arrivons au 5e km que le départ de notre course est donné et c’est entre le 6 et le 7e km que le premier concurrent nous dépasse. Le dernier km étant bien visible depuis l’arrivée, discrets, nous l’abrégeons passant par les côtés, en dehors de la ligne, ne voulant pas rafler tous les podiums dans nos catégories.
Nous avons une pensée pour les organisateurs qui se demanderont comment une compagnie de cinq dossards inscrits sur une course de 9km ont déclenchés leurs puces une heure avant le départ mais ne sont jamais arrivés. Penseront-ils que ces participants se sont fait écraser par des vélos sur la piste cyclable, voire enfoncés dans la vase la marée étant basse, ou perdus dans les bois du dernier km ?
Pour les rassurer nous irons, délicatement, déposer nos dossards après l’arrivée. Une fois ravitaillés, changés, les voitures rejointes nous nous dirigeons vers le port d’Audenge. Nous nous garons : S. (Ch et J), T. (M et A), P. (N et A), encore un problème, pas de S. (J et J). Mais un petit coup de téléphone nous les fait revenir dans le droit chemin. Donc nous pouvons, après un léger apéro, pour fêter cette journée, nous rendre chez «Geneviève».
Restaurant très bien, Geneviève et sa fille très sympathiques. Dame blanche très correcte. Une dernière péripétie avec les cartes bancaires des S. ne voulant pas régler leurs repas… Ils assurent quand même leur addition. Un dernier petit tour, avec le soleil qui se voile, vers le bout de la jetée et c’est le retour vers nos pénates.
Sur la route un arc-en-ciel très net, puis un autre, de gros nuages noirs et une belle averse histoire de nous rappeler que ce devait être une journée pluie. Heureusement la météo n’est pas toujours fiable et cette petite erreur nous a permis de passer une très bonne journée. Alain Peyroux
La Croisière des Bons Vins sous la bruine…
C'est une course solidaire en partenariat avec l’association Drôle de Girafe pour les enfants malades ou handicapés (pensées pour Maxence 10 ans parti vers les étoiles en 2022 quelques jours avant la course)
Nous rencontrons Mattis, puis juste le temps de voir partir les marcheurs qui partent sur le 10 km (Josianne, Jacky, Martine Alain, Christine Joël), Trail nature moitié chemins, vignes, moitié route.
Départ 10 h sur le 7 km (Mattis et moi) et José sur le 18 km, plus de 1300 participants.
Départ sous la bruine, mais il ne fait pas froid, plutôt humide. Juste après le départ, nous passons devant la caserne des pompiers, puis dans le bourg, des chemins, pas trop boueux malgré la pluie des jours précédents.
Un premier domaine (château la Blancherie je crois..), puis j’aperçois des chevaux en liberté qui se sont échappés de leur enclos, et qui gambadent dans les rangs de vigne. Et là, quelques passages boueux, mais on n’y laisse pas quand même les tennis (comme c’est arrivé d’autres années).
Un ravitaillement au 4 km et nous repartons tranquille pour passer dans d’autres domaines. Puis encore des chemins, un peu de route et nous arrivons dans la grande descente avant le stade, avec une entrée très glissante, faisons le tour et l’arrivée nous attend avec un tee-shirt.
Un ravitaillement avec une bonne soupe et un verre de vin pour se réchauffer.
Nous déjeunons tous sur place, coureurs et marcheurs, avec des huîtres, magret, frites… et avons le plaisir de rencontrer Jacques (bénévole) de la course de Villeneuve-de-Marsan, avec qui nous avions sympathisé sur place et beaucoup apprécié l’accueil. Il est accompagné de l’organisateur de Villeneuve avec qui nous discutons un moment.
Contents de se revoir. Florence
Crachin...
Départ de la marche sous un crachin " breton " avec un changement de parcours suite aux pluies de la semaine. Nous cheminons donc sur beaucoup de routes goudronnées jusqu' au château de Labrède où un succinct ravitaillement nous attend, par contre avec dégustation de plusieurs vins.
Nous retrouvons les coureurs et la gadoue sur une bonne partie des 5 derniers kilomètres. À l'arrivée nous nous apercevons que les 10 km se sont transformés en presque 12 km.
Nous retrouvons les autre marcheurs et coureurs pour un repas convivial organisé par le club de foot brédois. Les Sarasas
18 KM soutenu(e)s !
Départ commun et ça devient une habitude, Mattis me rejoint au 2e km, et 1, 2, 3 féminines nous doublent !
"C'est râlant toutes ces nanas qui nous passent devant !". "Quel fairplay" me lance l'une d'entre elles... Ce n'était qu'une observation mais c'est une réalité, elles sont de plus en plus nombreuses et surtout plus rapides !
Qu'à cela ne tienne, à plus tard Mattis, je la suis !
Le drôle manque de s'embarquer sur le parcours du 18 et vire à l'équerre vers le 7 km, quand je me tape la côte du jour. Si je veux tenir, pas le choix que de ralentir, à suivre, les vignes, faut se calmer, un peu de route et hop, la gazelle fonce...
Chemin de bouillasse, je zigue zague au milieu des flaques, j'entends pester derrière... J'aperçois des couleurs familières... Bdx Métropole me double !
"Hé ho... ça va ? On me double sans rien dire ?" / "J'arrête pas de glisser !" / "Ah ah ah... et tes trails ?" / "Je les aime pas !" / "Pfff... c'est bien un truc de nana ! Bien fait..."
D'ordinaire je propose mon assistance aux 2/3 de l'épreuve pour le finish, pour le coup, c'est "elle", (c'est quoi son prénom déjà...?), qui me met la pression avant même le 5e km... Je rêve !
Surtout je souffle... car j'ai déjà un bon rythme mais... ptite accélération pour tester...
"Je t'ai réveillé ?" / "Hé ho... tu te calmes ! :) ", à l'approche d'une flaque je l'éclabousse... elle l'a bien cherché ! Sourires...
Puis plus rien, place au sport et à l'effort... Quelques gémissements (féminins), Kzurine (ça lui va bien...), suit vaillamment mais reste en retrait !
On arrive au château, le paparazzi est là, quelle privilège d'être pris en photo avec la star, posons !
A qques km du stade, on passe devant une guinguette " La Méric" :)) , je l'asticote, "Allez on arrive !!". Et là encore ça glisse, elle va avoir du mal... Elle a choisi !
Dernier faux plat sur une portion de route, pas le moment de se retourner, si elle veut doubler, elle va devoir forcer, elle en est capable mais...
On vire sur le stade, mes Salomon font la différence, elle doit être à fond, on pourrait arriver main dans la main mais je suis lancé...
Je passe la ligne, elle me bouscule presque, salutations sportives... "Je ne sais pas qui a motivé qui ?" On en rigole bien !
"Oui mais c'est pas mal quand même... on n'a pas le même âge !" Elle... en rigole bien...
Je n'aurais pas dû garder cette poustache pour "Movember", GRRR...
Je choisis ma bouteille, rejoins Florence et Mattis sur la ligne, on entend, admire les grues, mes premières de la saison.
Ravito, bière, frites et potes...
Plus tard, au sec et au chaud devant l'ordi, résultats... la tech 1 - Salomon 0 !
En effet, Kazurine étant partie derrière moi, le chrono de la puce a rétabli le temps réel et... il m'a manqué qques secondes pour conserver ma place devant ! À la prochaine...
Elles en ont des cuisses ! Agos
Samedi 02 Agostinho José |
RANDO 9 KM, RETOUR À LA COMPÉTITION :
Enfin, nous voici de nouveau sur le terrain. Ces quelques semaines de non pas de repos mais d'autres activités qui ont nécessité beaucoup d’effort de notre part. La reprise va être douloureuse.
Donc, ARSAC... Le retour aux sources quasiment ! Plus de 20 ans déjà ! Souvenirs, souvenirs... Un seul regret car j’ai beau chercher... la section diminue. Heureusement, Mattis arrive et la section prend un coup de jeune. Ouf !
Donc, Arsac, 9 km pour la section rando, Jacky et Josianne, Odile et Claude et la rentrée de Martine et Rackham le Rouge et pour les coureurs José, Florence et Mattis.
Départ tonitruant de Jacky et Josianne (on espère les retrouver à l’arrivée), quant au reste de la troupe, Claude et moi, gentlemen toujours, laissons partir ces « drôles de dames » devant. Allez, on y va ! Tranquillous car c’est une reprise, ce n’est pas le moment de se blesser. 1km, 2km, 3km... Il y a beaucoup de monde sur ce chemin mais parcours plat, beau temps, tout va bien. 4km, 5km, 6km, on avance toujours. On discute un peu, une pause naturelle... Et puis presque plus de bruit ! On se retourne et surprise !!!!! Il y a 2 dames très causantes et c’est TOUT !!! Mais que se passe-t-il ???? Je dis aux dames de passer, la galanterie bien sûr, elles refusent car c’est la voiture balais ! Un sacré coup au moral.
Reprise très difficile mais on s’accroche. Enfin le ravitaillement, c’est pas trop tôt. On lui fait honneur car sympathique. 7km, 8km....
Enfin le 9e est en vue. Nos dames sont arrivées avec nous (elles ont eu peur que l’on se perde). Les marcheurs sont là ! Puis arrivent les coureurs, qui vous raconteront leur parcours.
Vite, les bons d’achat pour un rougail – saucisse, quelques chopes de bière et là on retrouve la 7e compagnie au mieux de sa forme.
Il est temps de regagner nos pénates, sans oublier le prochain rendez-vous à La Brède. Rackam Le Rouge
COURSE NATURE 10 KM : BONJOUR À TOUS !
Me voilà sur le lieu de la course, prêt à en découdre après un échauffement léger avec José et Florence.
Nous assistons au départ des marcheurs, puis José s’élance à son tour. Lorsque vient notre moment, Florence et moi avançons vers la ligne de départ. Je démarre le chronomètre de ma montre et commence à courir. Les deux premiers km je garde une allure modérée pour économiser mes forces, un choix stratégique qui s’avère "marcher", (sans jeux de mots), je n’ai aucun point de côté.
Une fois les premiers km franchis, je me sens bien et décide d’accélérer pour la suite de la course. Après quelques km, je commence à rattraper des coureurs, gagnant peu à peu du terrain.
À un moment, j’aperçois une silhouette familière parmi les participants (un visage qui m’évoque de mauvais souvenirs de mes années de collège). Sans en être sûr, je passe devant lui, remarquant qu’il est déjà essoufflé. Cette vision me motive davantage : terminer avant lui devient mon objectif, une petite revanche personnelle !
Plus loin sur le parcours, je repère Christine, une championne que José avait saluée avant le départ. Je lui demande si cela la dérange que je l’accompagne pour les cinq derniers km. Elle accepte et nous poursuivons ensemble, échangeant quelques mots tout en restant concentrés sur notre allure.
Notre rythme est soutenu et nous dépassons encore quelques coureurs dans les derniers instants. Lorsque nous franchissons la ligne d’arrivée, je la remercie pour ce final motivant à ses côtés, puis je file vers le ravitaillement, assoiffé mais ravi.
Cette course a été un succès total pour moi. Avec une allure moyenne de 12,5 km/h, je termine en 45e position sur le 10 km (enfin 9,82 km), avec un temps de 47:53 minutes. Très satisfait, je suis fier d’avoir relevé ce défi et partagé cette expérience.
Merci à mes "chauffeurs", à ma mère et aux marcheurs de la page blanche qui m’ont encouragé ainsi qu’à un pote d’enfance qui est venu me voir après la course. Mattis
LE MÉDOC, LE RETOUR, SUR 18 KM !
Après le Pian, nous revoilà sur les terres de bruyères sablonneuses.
C'est dans une ambiance colorée des années 80, que le sosie de Julien Granel lance le départ des randonneurs !
Suit celui des coureurs, le drôle manque d'entrainement n'a pas osé se lancer sur le 18. On s'enfonce rapidement dans les bois, non sans une certaine crainte car les coups de fusils se font entendre... Une année d'ailleurs je me souviens avoir croisé des cibles de silhouettes de gibier qui servaient d'entrainement de chasse à l'arc !
Parcours pas trop boueux, plutôt rapide, les 10 km se passent assez bien, cette fois je n'ai pas fait l'erreur d'être trop vêtu, le 12e arrive et je rejoins une féminine... Fidèlement je lui propose de suivre le "train"... difficilement elle reste à distance. Mais plus loin, alors que je piste ma montre je crois qu'on est sur un 15 et j'allonge, arrive le faux plat d'une allée d'entrée d'un château bien casse-pattes sur lequel elle me rejoint !
Belle foulée, elle a vu une féminine pas loin devant, bonne respiration, je sens que je vais en baver et là elle me lance, "je la rejoins"... oui oui vas-y j'arrive !
Que neni, il reste 3 bonnes bornes, j'ai les cuisses dures et je la vois partir sans espoir.
Je finis sans accélérer, on assure et on évite la blessure. Après coup, en comparaison aux 2 précédents semis, la moyenne n'est pas si mal...
A l'arrivée, jolie surprise d'une ancienne voisine de notre campagne de l'Entre-2-Mers, Justine, Nyx et Nouchka, oui, des prénoms pas vraiment du coin ;) mais habitant dans le coin, bises, bises, merci !
Pas de douches, place aux "cuisines ambulantes", les copains sont déjà à la mousse !
Poulet ok mais faut qu'on attende les patates... heureusement qu'il fait bon !
Le drôle fait presque un podium... Il se venge sur des hamburgers !
Belle journée qui se termine à nouveau par une gamelle collective sous le soleil ! Agos
RANDO :
Déjeuner à l'hôtel pris à 7h30, nous arrivons sur la ligne de départ vers 8h35.
Nous avons droit à un échauffement collectif de 5 mn sur des airs de zoumba !
Enfin 8h45 nous démarrons dans les rues de Villeneuve pour descendre dans les bois vallonnés que nous ne quitterons qu'aux 2 tiers de la rando. Le parcours est très beau et agréable entrecoupé de plusieurs ravitaillements.
Les gens de l'organisation croisés en chemin se révèlent très sympas. Nous déroulons vers l'arrivée entre les tournesols et les maïs. Claude, Christine, Wilfrid et moi.
Arrivée dans les arènes après plus 2h30 de marche.
Vraiment une belle rando avec un accueil et une organisation festifs généreux... À refaire. Joël
10 KM :
Nous arrivons à l’hôtel samedi après midi, nous nous installons et partons à VILLENEUVE-DE-MARSAN afin de récupérer les dossards avec quelques petits cadeaux et faisons la photo officielle de groupe de l'organisation sous le marché couvert.
Puis, direction, visite des caves du Domaine de Jouatmaou à LE FRÈCHE. Jolie propriété, nous admirons tout d’abord les magnifiques plantes, fleurs… puis les belles caves souterraines qui abritent les fûts fabriqués en chêne, la propriétaire nous propose une dégustation à la boutique que nous apprécions tous dans la bonne humeur et ne résistons pas à quelques achats.
Et c’est l’heure de la pasta, dans la salle des fêtes, avec bien sûr des pâtes et un gâteau local au pastis.
Dimanche matin, petit déjeuner tous ensemble à l’hôtel et départ sur Villeneuve. Le départ de la marche et des courses se fait dans le centre, les marcheurs partent avant, puis Mattis, José et moi partons ensemble (José sur le 21 km, Mattis et moi sur le 10 km). Le parcours des 10 km est composé de ¾ de route et ¼ de chemin de campagne. Au 3e km environ, nous passons dans les chais du château de RAVIGNAN, et certains endroits du parcours sont animés (bandas, groupe brésilien, cors de chasse…), un ravitaillement vers le 5e km. Quelques côtes le long du parcours… je cours tranquille, sortant d’une blessure. Je marche un peu dans la dernière côte avant l’arrivée dans l’arène (pas vraiment mon truc les arènes… mais bon y’a pas de taureaux…).
Et enfin l’arrivée/l’entrée dans les arènes !!! Au son de la fanfare locale et le public pour nous encourager. Mattis est arrivé, et Marika est sur place. Nous attendons les marcheurs (Christine, Joël, Claude, Wil, Josianne, Jacky).
Je repars en bas de la côte voir si le Président arrive… Josianne et Jacky arrivent par le chemin boisé en même temps que José sur la route… qui ne manque pas de les doubler ! Puis tous les autres marcheurs arrivent en suivant dans l’arène… ravitaillement, quelques photos, et nous partons vers les douches.
Enfin le déjeuner et son gâteau « pudding » fleur d’oranger excellent, dans le parc, beau temps, animations, groupe brésilien, bandas, très bon moment de joie et partage et remise des prix.
Et pour clôturer le tout, l’organisation fait le tour des tables pour offrir le digestif… de l’armagnac ! Ce week-end à VILLENEUVE a été très agréable, très bien passé, l’accueil hôtel, l’organisation, les bénévoles, parcours course… et une ambiance très festive !!!!!
Merci au Président pour l’organisation de ce super week-end. Florence
SEMI :
Protégeons la planète... nous étions déjà 3 dans la voiture quand les copains de Barsac nous proposent du covoit, nous voilà donc 5 embarqués pour la grande traversée des Landes !
Objectif : hôtel + dossards + visite chais + pasta party et dodo car la compèt de l'année en dehors des terres nous attend !
1h de route, pas de pause prévue, arrivés sur le parking, les Souckys nous accueillent ! Le moteur de leur carrosse est encore chaud mais ne soyons pas mauvais joueurs ils sont prem's !
Intendance administrative, Aireco, installation, pas de wifi ni de chaines superflues, les chambres sont modestes mais propres et fonctionnelles, l'accueil très serviable, même l'h du ptit déj nous a été aménagée car il y a 20 mn de route et le départ des marcheurs est à 8h45, il ne va pas falloir trainer autour des viennoiseries !
Avec 1h de mieux (et qques degrés de plus), nous aurions (moi sûr) défié la piscine extérieure déjà remisée mais...
On contacte les amis du Bassin... "on est sur la route"... On se retrouve au marché couvert !
Sur place, chacun récupère sa poche souvenir... médailles et produits locaux, jusqu'à la mignonnette d'Armagnac, vérif des tickets repas et mise au point avec une organisation à l'écoute et réactive, car tout s'est fait par mail suite à des inscriptions closes pour cause de places limitées atteintes bien avant la date, on l'a échappé belle ! Tout se cale bien, l'aventure sportive et diplomatique se poursuit...
La bande à Claude et ses Sarasa arrive ! Une photo de famille "photomaton" et nous voilà partis vers un des nombreux partenaires, la cave souterraine de Jouatmaou !
Tendre accueil tout d'abord par une chiwouahwouah... Mattis craque de douceur et de câlins... limite il veut se l'embarquer...
La visite technique et historique nous révèle les difficultés d'un héritage de terroir et de savoir-faire avec lequel il faut composer entre "la part des anges" et les volumes contrôlés et taxés à la pipette près ! Mélangés aux odeurs de pierre, terre, poutres, vieux chênes... les arômes sont bien là, semblant vouloir retenir les années soigneusement étiquetées sur les barriques.
Heureusement la règlementation de la dégustation n'est pas encore trop sévère et les différentes papilles s'animent... Vanille, morito, armagnac, de l'apéro au digeo, les nuances sucrées et les degrés plaisent, même nos canelés sont plongés dans ce breuvage enivrant !
Et le sport dans tout ça ? On y vient ! D'abord le stock de sucres lents... direction le pasta party !
Un excellent apéro confectionné avec attention par Marika et Wil faisait saliver les organisateurs qui passaient devant notre table... puis Bolognaises.
Le rdv du ptit déj est toujours partagé entre un réveil progressif et la joie d'en découdre, pas de marathoniens cette fois donc les enjeux sont modérés et le timing des marcheurs prend le dessus, les Soucs qui ont repéré les lieux la veille, partent en pole position. Par chance nous avons une assistante pilote qui nous déposera pile sur la ligne... on prend notre temps, viennoiserie, fruit, laitage, chocolat au lait (ou lait au chocolat ?), café ou tisane... à chacun sa formule à la fois la plus digeste et performante...
C'est parti pour le départ, garés en double file, Wil file retrouver les potes, Marika est émerveillée des déguisements qui nous croisent...
Nous, coureurs, on s'échauffe bien brièvement, l'esprit est au festif, ça se voit, mais le départ est rapide, Mattis me rattrape dès les 1ers km je le vois s'élancer sur la première côte, il aime ça les montées !
Les traversées de parcs de châteaux me rappellent Azay, celles des chais me dilatent les narines.
A part les tournesols tous marrons... les paysages sont verts et arborés, on alterne entre les vignes et les maïs et quelque chose m'intrigue mais je ne sais pas quoi... Il m'a fallu plusieurs parcelles pour trouver !
Je ne savais pas quoi faire si je devais me reconvertir, ça y est : coiffeur de maïs ! Oui, certaines parcelles de maïs sont taillées, tous les plants ont la même hauteur... ils sont particuliers ces landais...
Des animations musicales ici et là rendent la compèt moins vorace, trop vêtu mais dans un bon rythme, je ne prends même pas le temps de m'arrêter pour me libérer du tee-shirt, me voilà torse poil... je le dissimule dans mon short et je remets vite la tenue officielle, les paparazzis ne sont jamais très loin !
Vient la phase coaching... me retrouve entre 2 féminines... j'essaie d'emballer celle de derrière pour la faire remonter quelques places et pourquoi pas atteindre un podium ? Petit signe de la main, allez allez... et hop me voilà poursuivi par une queue de cheval oscillante bien plus régulière que moi ! Je l'entends souffler, ça va être dur... mais pour qui ?
17e km, je surveille notre moyenne... chemins, petits ponts au dessus des cours d'eau, allées calcaires, elle reste régulière mais je commence à sentir mes cuisses...
C'est malin... 19e faut assurer ! Allez, allez... c'est maintenant, y'a la côte au dernier kilo !
Et oui, un des organisateurs bienveillant nous avait brieffés à la pasta en nous disant que pour finir, le dernier kilomètre était une belle côte, que tout le monde finissait en marchant !
Donc j'accélère tant qu'il est encore temps et je perds miss couette !
On récupère la route et là en effet... ça penche dur... je raccourcis la foulée, baisse la tête et en avant, hors de question de marcher devant tout ces "fans" !
J'essaie de viser plus haut, les arènes on doit les voir de loin, ben non... en revanche que vois-je ??? C'est pas les Souckys qui m'arrivent par la droite ? Ils vont quand même pas piquer la vedette au président ???!!!
Je balance mes bras pour puiser l'énergie... et hop devant !
Il était temps.
Non, je n'ai pas marché dans la côte, et on y reviendra, je pense ! Agos
Mardi 08 Alain |
Mercredi 30 Didier |
LA RANDO :
Dimanche 15 septembre 7 heures, il fait 7 degrés dehors. Pas question de coucougner au plumard, les 10 km de la Ronde du Pian nous attendent pour notre rentrée. Les dernières sorties autour de chez nous ont été bonnes, on espère bien marcher pour cette rando officielle avec classement.
Arrivés au Pian, les parkings sont pleins mais j'en ai repéré un tout près du départ vide, c'est l'aubaine, je me gare. On va récupérer les dossards et voilà nos trois coursiers Flo, José et Mattis qui arrivent. Pas le temps de discuter longtemps, Il est 9 heures et les voilà qui s'élancent, Flo et Mattis sur le 10 et le président sur le semi.
Les marcheurs se réunissent à leur tour sous le portique de départ et à 9 h 10 le top est donné. Jojo part sur les chapeaux de roues et moi qui suis plutôt diésel ai du mal à suivre. Elle m'indique qu'elle a repéré 2 nanas qui avancent bon train et me dit qu'il faut rester derrière elles le plus longtemps possible. Au bout de 2 bornes j'ai enfin trouvé mon rythme.
Le parcours n'est pas terrible au point de vue paysage: beaucoup de chemins dans les bois. Attention aux racines qui dépassent parfois ainsi qu'un petit pont de bois très glissant. À 2 km de l'arrivée, les concurrents du semi nous doublent.
Enfin la flamme rouge : les nanas devant nous accélèrent. On s'accroche, on va pas laisser tomber si près du but. Nous franchissons le portique d'arrivée le panneau affiche 1h39, 22e et 23e au scratch et premiers de nos catégories ! On vient de pulvériser notre record sur 10 km, on remercie les 2 filles qui nous ont trainés tout le long du parcours.
Un bon ravito et une bière et il est temps de repartir. Nous ramenons Mattis à son école pas loin de chez nous à St-Selve. Il a été très satisfait de sa course finissant dans la première moitié du classement, Flo aussi était satisfaite de sa course de rentrée et le président a bouclé son semi en moins de 2 heures.
Objectif atteint pour tout le monde. Rendez-vous à la fin du mois pour de nouvelles aventures dans les landes.
Juste avant le départ des courses le président me fait savoir que le speaker a annoncé plusieurs fois qu'une voiture blanche était stationnée en plein sur le parcours et qu'il fallait l'enlever d'urgence ! Devinez à qui elle appartenait...? Les Soucs
LE TRAIL 10 KM :
Je participe au 10 km, honnêtement, quelques jours avant, je ne pensais même pas pouvoir finir cette course.
Juste avant le départ, j’ai croisé quelqu’un que je pense avoir connu au collège, mais je n’ai pas osé aller lui parler, donc je ne saurai jamais si c’était bien lui.
Cette course me tenait particulièrement à cœur, car elle était organisée dans la ville où j’ai grandi et où ma mère vit toujours. J’ai donc eu la chance de voir ma mère, mon frère et ma sœur après la course.
Le départ est lancé, j’active mon application et je me lance. Les premiers kilomètres se passent bien, je garde mon rythme dans le peloton en essayant de doubler quelques personnes. Après une partie sur route, nous avons rejoint un chemin en forêt où, pendant environ 1 km, on était obligés de courir les uns derrière les autres sans pouvoir dépasser. Une fois sorti de la forêt, sur un chemin plus large si je me souviens bien, j’ai pu reprendre mon souffle et en rattraper quelques-uns, sans trop m’épuiser.
Même si je sortais d’un rhume et que je toussais un peu, je n’ai ressenti aucune douleur particulière pendant la course. À partir du 7e kilomètre, je me suis dit que le plus dur était fait et que je n’avais plus qu’à profiter. Un bénévole m’a d’ailleurs sauvé en m’indiquant le bon chemin, évitant de prendre à gauche et de me retrouver avec 13 km supplémentaires à courir ;)
À 1 km de l’arrivée, j’ai rassemblé toutes mes forces pour essayer de doubler deux coureurs devant moi. J’ai réussi à rattraper le premier, mais le deuxième est resté hors de portée, à environ 100 mètres de l’arrivée. Toutefois, les encouragements de ma famille m’ont donné un dernier coup de boost. Même sans doubler le deuxième, j’ai franchi la ligne d’arrivée avec fierté.
Cette course a été une vraie épreuve, mais je suis vraiment heureux de l’avoir terminée, porté par le soutien de mes proches.
Un grand merci à José et Florence de m’avoir amené et à Jacky et Josianne de m’avoir ramené.
Je dirai que malgré des entraînements insuffisants, j'ai tout de même réussi à bien gérer ce 10 km. Je suis content du résultat et fier d’avoir tenu jusqu’au bout. Mattis
LE SEMI EN TRAIL :
Course de reprise après la trêve de l'été... pas super confiant...
Après Cadarsac, le Médoc ça va "dérouler"... Ben pas tant que ça, en terme d'appuis, un terrain moins percutant mais plus absorbant... Un départ raisonné, de l'attente à la traversée d'un ruisseau où tout le monde faisait sagement la queue, un ptit pont en palettes faisant office de ralentisseur... difficile de s'emballer !
Quelques lignes droites enfin pour doubler... mais peu de concurrents regroupés alors l'esprit s'envole en pensées littéraires...
Plus personne ne fait l'erreur avec "la voiture DE papa" et " la voiture À pédales" !
Ou, évitons les quiproquos, "la voiture DE maman" et "la voiture À traction" !
Mais alors, questionnement du jour : quelle différence entre "Rêver de" et " Rêver à" ?
Défendu d'utiliser notre ami Google... à vos commentaires ! :) :)
Revenons sur le terrain... J'ai bien une fidèle histoire de coureuse... fut elle bien fugace ! Celle-ci profita de ma faiblesse à un ravitaillement lorsque je me suis attendri sur un sacré morceau de cacao noir... Celui-ci a adouci mon palais jusqu'à l'arrivée, pendant que la gazelle toute vêtue de triste noir suivait son chemin sans pause !
La partie finale étroite et sinueuse n'offrait pas la possibilité d'accélérer, peu importe, mon objectif était de ne pas dépasser les 2h ! 1h58'15" me rappelle un certain record marathon...
J'ai pu fêter ça avec ma bière et celle que le bon Mattis m'a offerte avec au généreux ravito : charcutaille, melon, pastèque, raisin et pain d'épices ! Agos
Vendredi 12J Jacky |
Vendredi 26 Odile |
La marche des 10 km :
Primitivement nous devions aller à St-Laurent-d'Arce, mais c'était le jour de la fête des pères. José devait en principe la fêter en famille. Il nous proposa à la place une épreuve le samedi à Cadarsac nommée la Jojo Run. Avec un tel nom on ne pouvait qu'accepter.
Arrivés à 9h sur les lieux, le départ de José étant prévu à 9h30, engagements sur place corrects pour la marche mais très cher pour le trail. On s'aperçoit très vite que l'organisation n'est pas au top.
À l'heure du départ de José, échauffement commun qui dure un bon quart d'heure, finalement le top départ est donné à 10 h ! Le speaker indique alors que le départ de la marche est fixé à 11h30. On calcule qu'on ne sera pas de retour avant 12h30-13 h. On ne verra donc pas l'arrivée du trail ni la remise des récompenses. Nous prenons donc la décision de partir tous les deux directement derrière les trailers.
Le parcours est agréable, d'abord le long d'un beau lac agrémenté de canards, oies et cygnes. Ensuite petit chemin pas trop boueux entre vignes et champs, nous remarquons l'excellence du balisage. Même Alain Theux n'aurait pas pu se perdre. Ce sera le seul point positif de la matinée.
Nous arrivons à temps pour assister à l'arrivée du trail long. Les coureurs passent la ligne d'arrivée dans l'indifférence la plus complète, le speaker étant occupé à réparer la sono défaillante. Pour couronner le tout, la remise des lots du petit trail eut lieu en plein milieu du couloir d'arrivée, José, excellent 14e dut donner de la voix pour se frayer un chemin jusqu'à la ligne.
Le ravito d'arrivée fut le même que le nôtre, à savoir un verre d'eau et quelques tranches de pain sec. José demanda ce qui allait avec le pain; rien lui répondit le responsable du ravito.
Nous décidons de ne pas manger sur place. En démarrant du parking nous croisons les marcheurs qui étaient partis à11h30.
Beau parcours, bien balisé mais course à ne pas refaire... Les Soucs
Le trail des 4 saisons :
C'est en avril qu'elle devait avoir lieu, repoussée en juin à cause des inondations elle nous a permis de nous libérer pour la fête des papas !
C'est donc un samedi matin que les partants pour St-Laurent-d'Arce se retrouvent à Cadarsac, les Soucs pour la rando des 10 bornes et moi sur la grande distance, le 22 km, il faut dire qu'avec un nom pareil, pour JOsianne et JOsé cette orga nous semble toute indiquée !
Aux inscriptions sur place, me rends compte que je me suis encore laisser berner par un circuit de 2 mêmes boucles, ce qui n'est pas des plus folichons en terme de découverte du paysage ! Ça a son intérêt, connaître les difficultés et les portions d'accélérations possibles dès la mi-parcours.
Avant le top, nous avons connu le frais, la pluie, le mitigé et le soleil avec les tenues à adapter juste avant le gong de départ ! Un échauffement dirigé par une prof de zumba... le cardio a bien fonctionné ! Sais pas si je vais pas m'inscrire dans sa salle pour me réveiller en rythme après mes nuits trop calmes... !
Avec une bonne demi-heure de retard, on prend enfin le départ, difficile de savoir combien on est sur le 22 solo puisque tout le monde part en même temps mais y'a pas foule.
Chemin, vignes, route, ça a l'air plat mais au 6e une belle montée sur les coteaux des vignobles de l'Entre-Deux-Mers ! Et au 7e une côte vers Nérigean qui doit être à 13% pendant au moins 3 km ce qui casse bien les pattes.
Et là je commence à sentir... oui, l'amoureuse, dans ces passages étroits comment ne pas la rencontrer ? Et impossible de l'éviter... Sur une montée... qu'est-ce qu'elle devient collante... Il me faut traverser la route pour pouvoir m'en éloigner un peu, plein les godasses... Il faut que je tape bien pour alléger mes jambes de l'argile du pays !
Revoilà le départ... seul, mon esprit se libère, c'est parti pour la 2e boucle, le paysage est tellement varié que finalement on ne s'en aperçoit pas vraiment... quand tout d'un coup on me lance "Hé ho monsieur, c'est par là !", forcément... si je ne prends pas le bon virage...
Une voix frêle et imposante à la fois..., "monsieur" dis-je, quel coup de vieux vous me donnez là ! Mais non, "désolé mais savais pas trop comment vous dire ! " :)
Pas de soucis... reprenant mon souffle, puisque j'ai un peu accéléré pour revenir sur mes pas et surtout ne pas perdre ma sauveuse ! J'ose... "Et donc vous faites le solo ou le duo ?", "Le solo..."
Bon... si elle a réussi à revenir sur moi c'est qu'elle n'est pas là que pour admirer le paysage... Les commissaires de course la saluent, c'est une locale... "Y'a pas que du plat par ici !", "oh pratiquement...", bon j'arrête de parler et me concentre sur les coteaux, jette un oeil sur le côté, elle est toujours là..., sur le plateau un vent puissant... elle perd quelques mètres, un peu plus loin de la pluie, encore quelques mètres de plus, me retourne et lui fais signe de se rapprocher... "hé ho mademoiselle, vous arrivez ?", "désolée de vous laisser faire le lièvre, mais là j'ai du mal...", "Pas de soucis, ça va descendre et on y est presque !".
On entend le speaker, je la relance... sur la dernière ligne droite je lève le pied pour passer la ligne ensemble, une victoire de trailers en couple !
Ca m'aura coûté la 1ère place de master 4 du pote juste à quelques secondes devant, mais que la bataille partagée sur cette 2e boucle si redoutée fut agréable !
Derrière la ligne le duo Soucs m'attend fidèlement, je vois à leurs mines que le questionnaire de satisfaction va chauffer..., ce n'est pas sur le ravito qu'on va s'attarder... Le groupe de Jazz se met en place, l'ambiance n'y est pas... Les sandwich ne sont pas attirants, sous le soleil... on rentre.
J-AIR BLUM est une association qui a pour but d’aider des jeunes pilotes motivés sans les ressources nécessaires pour atteindre leur rêve absolu de voler, si j'ai pu aider... Agos
Toulenne bucolique :
Ayant eu trois jolies semaines intenses, la marche de 10 km sur Toulenne était appropriée. Il me fallait de quoi décompresser et me sentir zen, une sorte de médiation, pas de stress.
Après trois cafés extrêmement corsés, sac à dos au top, bouteille d’eau pleine, chaussures aiguisées et téléphone chargé si je me perds. Me voilà partir seul dans cette aventure. Marika devant préserver son dos. Quand je dis me perdre, parfois cela arrive dans les parages du sauternais :p.
À mon arrivée, deux sourires, les yeux pétillants… Josianne et Jacky… je prends mon dossard. Nous discutons, un peu, beaucoup… Josianne nous fait remarquer, qu’il serait temps d’aller sur la ligne de départ.
Effectivement, le départ était imminent. Je précise que j’irai tranquille s’ils partent devant moi. Seulement le scénario a été différent. Nous sommes restés ensemble. Avec Jacky nous constations un terrain sec, un quart d’heure plus tard, nous jouions avec la boue. Nous n’avons pas vu passer les cinq premiers kilomètres et aussi les cinq derniers. Le parcours était diversifiant, bucolique, un paysage en fleur, une température agréable, parfois un ensoleillement sans un vent…
Ha si !! Nous avons eu, un coup de vent. Une tornade, que dis-je !! Sur le dernier kilomètre, Mattis et José nous ont doublés. Nous avons presque fini ensemble :) Wil
La course nature :
Après une coupure d’une semaine sans entraînement ni course, me voilà à Toulenne ce dimanche 26 mai. Environ 130 participants pour le 10km, nous étions 2 (le président et moi) à représenter la Page Blanche.
Sur la ligne de départ, mon public était là (mon père et mes grands-parents) je me place donc à leur niveau avec José pour que ma grand-mère puisse prendre quelques photos.
Voilà le départ annoncé par le speaker, j’active donc le chrono de ma montre et commence ma course. Petite précision : le parcours se déroule sur 2 boucles identiques de 5 km entre sentiers et route, le tout sans dénivelé.
Les 2-3 premiers kilomètres se passent tranquillement, j’aperçois José devant moi mais, n’arrivant pas vraiment à rester a côté de lui, je décide de ralentir un peu afin de m’économiser pour la deuxième boucle. Le 5e kilomètre arrive, je distingue mon public au loin puis, en me rapprochant, j’entends mon père m’encourager puis me dire « José est 20 secondes devant toi » (ce qui, sur le coup, me motive pour arriver à son niveau).
La première boucle vient d’être bouclée, j’entame donc la seconde. Sur environ 2 km, je trouve assez d’énergie pour avancer plus vite que sur le premier tour, ce qui me permet d’arriver au niveau du président. Encore 3 km pour atteindre mon objectif : finir avec José.
Je le suis donc à son allure pour espérer finir en même temps que lui. Quelques kilomètres passent, puis, approximativement 500 mètres avant la ligne d’arrivée, José me montre qu’il y a un coureur de Rapetou (l’association de Toulenne) vraiment pas loin devant nous. Il me dit donc d’arriver à sa hauteur afin de pouvoir le doubler sur la fin (ce que j’avais compris comme : double le directement).
Je rassemble donc beaucoup de mon énergie du moment pour le doubler et voyant qu’il ne réagit pas, je décide donc d'en doubler 2 autres qui couraient ensemble. Celui de gauche s’est laissé dépasser tandis que celui de droite a entamé son meilleur sprint en me voyant arriver.
Impossible pour moi de le doubler étant donné qu’il avait déjà pris de l’avance. Je franchis donc la ligne d’arrivée devant le président (pas comme je l’avais prévu mais j’ai pu me dépasser encore plus).
Je dirais que ce fut une belle course pleine de rebondissements (petit jeu de mot) assez dur pour moi vers le milieu mais la persévérance en valait la peine. J’ai passé un agréable moment à courir en compagnie de José et grâce au soutien de ma famille. Mattis
Mercredi 26
Marika
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Samedi 15
Mattis
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Bravo aux Soucs ! 10 KM Jacky 2e Josianne 4e
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Rando du 11 km :
Nous ouvrons nos volets, ce dimanche sur… (pardon !... avec tous ces jours fériés accordés aux actifs nous, pauvres retraités, ne savons plus ou nous en sommes).
Donc, je reprends. Nous ouvrons nos volets ce JEUDI sous un grand ciel bleu, cela va être une belle journée. Il est tôt ce matin car nous nous préparons pour faire une marche très très loin, sur l’astéroïde B 612. Donc, nous prenons notre autospace, survolons la rocade et nous posons, à huit heures précises, sur cet astéroïde au nom plus commun de Bourgailh.
Ici, sur la droite, on nous a dessiné… un parking. Nous y trouvons une place. Un véhicule nous rase et va se garer un peu plus loin. Tiens donc. Je redémarre et viens me garer plus près de celui-ci qui n’est autre que celui de la famille Souc. Bonjour Josianne, bonjour Jacky, et patati et patata.
Puis nous nous dirigeons vers la tente des dossards quand devant nous, un renard à apprivoiser, non, la couleur est la bonne mais ce n’est qu’un écureuil qui part vite se mettre à l’abri.
Puis voici l’arrivée de Martine et Alain suivis de Christine et Joël précédant Mattis et en suivant Odile et Claude. Pour un astéroïde désert, on repassera, nous sommes maintenant serrés dans une foule incommensurable.
Puis le sifflet du départ lâche tout ce monde. Le temps d’apercevoir subrepticement sur la gauche notre président accompagné de Florence et la route traversée c’est parti pour les neuf PB sur onze kilomètres.
Ici pas de Baobab mais une forêt de feuillus, un cortège d’arbustes comme la bourdaine, l’aubépine, le houx, le reste en résineux. Par les chemins, un coup à gauche, un coup à droite puis vers les 1km5 nous laissons Martine et Claude partir sur les 5 km.
Un coup à droite, un à gauche nous slalomons coupant les trails ainsi que le cinq. Nous ne longeons pas un bras mais un des doigts, vu la grosseur, du Peugue, nous remontons vers sa source. En face une tâche bleue, ce doit être l’étang du Bourgailh. Après un virage à 360° nous en faisons le tour. Sur le bord un ravitaillement succinct. Nous avons passé les 5km500, nous sommes sur le retour.
Vers les 8 km un peu plus d’animation : nous croisons le trail des 15 km. En coup de vent nous apercevons une moitié de José. Une fois, deux fois nous traversons le Peugue. Sur une passerelle en fer nous passons au-dessus d’une fabrique à moustiques. Nous y voyons non pas un volcan à ramoner mais un vieux puits.
Nous entendons le speaker, nous ne sommes plus loin. Nous y voilà. Je suis sur la ligne. Non, trop tard, le premier des 15 km me passe devant. A l’arrivée je pensais avoir une rose, non elle devait être fanée. Un petit instant et sur la voix des ondes nous entendons l’arrivée d’un certain « Agostinho de la Page Blanche ». Un instant de plus et nous sommes tous rassemblés pour la photo du jour.
Je n’aurai pas grand-chose à dire sur la deuxième partie de la journée qui se déroule dans la bonne humeur, dans une clairière ombragée derrière les voitures, sans aucun serpent venimeux ni d’allumeur de réverbères. Nous terminons palabrant assis en rond comme des indiens, les chaises en plus. Mais Nicole et moi attendons de la visite en soirée donc après un au revoir à toute la compagnie nous reprenons notre autospace et quittons l’astéroïde B612 où nous avons passé une excellente journée.
« Le vrai bonheur ne dépend d’aucun être, il ne dépend que de nous. » Le Petit Prince PAlain
Journée des petits princes au Bourgailh :
Nous partons de Saint-Médard de très bonne heure. 8 heures !!! 11 km pour arriver à destination et nous ne voulons pas louper le départ. Pourvu que l’on ne se perde pas…
Non, et la section quasi complète nous attend. Nicole a nos dossards, parfait. Sauf que je décide de faire le 5 km au lieu du 11 car ma santé défaille et je préfère me réserver pour plus tard.
Nous sommes donc 2 sur le 5 km : Claude et moi. Sacré binôme ! Départ 9 heures; nous marchons tranquillement dans ce magnifique parc, très ombragé. Aucun risque de manquer le chemin car il y a beaucoup de bénévoles. Marche autour de beaux lacs, pas de difficultés particulières. Il fait très beau et cela fait du bien de respirer du bon air.
5 km, pas de problèmes et nous marchons tranquillement. Déjà l’arrivée ?? Nous avons marché entre 1 heure et 1 h 30. Nous n’avons pas contrôlé notre performance. Nous retrouvons Nicole et nous attendons l’arrivée de nos marcheurs et de nos 3 vaillants coureurs. Notre inusable président Agos, Florence et le petit dernier, Mattis, qui vient de rejoindre notre section (nous attendons maintenant le papa).
Ouf, tout le monde est là, satisfaits de se retrouver avec bien sûr la petite bouffe sous les arbres, bien à l’ombre.
Rien n’a manqué pour terminer cette journée dans la joie et la bonne humeur (comme d’habitude avec la 7e compagnie). Martine
La Coureuse Nature du 7 km :
Cette Course Du Petit Prince a été créée en 2022 par Marie et Jean-François SUBILLEAU qui ont perdu leur petit Corentin, c’est un événement caritatif organisé dans la forêt du Bourgailh, à Pessac. L’intégralité des inscriptions est reversée au programme de recherche national sur les sarcomes (cancers rares des enfants et jeunes adultes) à l’Institut Bergonié, avec des dons également de partenaires (entreprises et particuliers).
La Forêt du Bourgailh est un site très agréable, boisé, parfait pour les balades, les trails, les randos. Pour ma reprise, ce sera donc ce trail humanitaire qui me tient à cœur et que je trouve important de pouvoir y apporter notre petite contribution.
Nous y arrivons, très beau temps, soleil, y retrouvons d’abord Mattis le jeune nouveau coureur et puis les marcheurs que nous voyons sur la ligne de départ. Cet évènement est bien organisé, nous allons chercher notre dossard, des stands divers pour la santé et sensibilisation aux sarcomes (Institut Bergonié), de la musique, beaucoup de bénévoles engagés.
Concernant le parcours, idyllique, pratiquement que des bois, pas de difficulté particulière, surprise d’être aussi bien.
Après nous être changés, nous allons déjeuner, divers stands au choix et restons sur le site car il y a des concerts. Une camerounaise OKALI avec une voix sublime ! Puis nous allons rejoindre les marcheurs qui ont déjeuné sous les arbres, passons un moment ensemble et nous nous quittons sur cette belle journée positive d’avoir tous participé à cette cause humanitaire. En espérant pouvoir en faire d’autres….
Un grand MERCI à la CDPP pour cette belle journée et sûrement à l’année prochaine, tous ensemble pour faire avancer la recherche. Florence
Le Coureur Nature du 15 km :
Devant autant de précautions conseillées par l'organisation pour arriver tôt à cause des soucis de stationnement, réveil à 7h30 pour un départ de course à 10h30 à 30 mn de la maison... ce n'est pas humain pour un travailleur de nuit !
Nous y sommes avant 9h, ambiance chaleureuse et foule ventilée, nous assistons au départ des randonneurs plutôt bien ordonnés mais "noyés" dans la foule... dommage qu'ils ne portent pas un des tee-shirts de la PB !!!
Sentiers et chemins comme annoncés, parcours agréable et à l'abri du soleil la plupart du temps.
A ma grande surprise l'ami Jacky m'apprend que par catégorie, 2 des 3 coureurs ont fait podium et le 3e qui débute n'en était pas si loin, les anciens ont encore la pêche et le jeune doit être patient...
RDV à renouveler... Agos
Agé de 20 ans, ma découverte de la course à pieds s’est développée assez tardivement (il y a un an).
Tout a commencé grâce à un ami, un jour où il devait s’entraîner pour ses sélections, (pour rentrer à l’armée chez les parachutistes), il m’a proposé en rigolant de l’accompagner courir.
Pour lui prouver que j’en étais capable j’ai accepté, la séance s’étant bien passée j’ai donc décidé de continuer à courir mais pas de façon régulière.
Après quelques mois d’arrêt je me suis rendu compte que j’avais besoin de me dépenser. J’ai donc demandé un programme d’entraînement à un éducateur dans le centre où je suis, il m’en a donné un, puis j’ai commencé à le mettre en place.
Depuis, je cours régulièrement (2-3 fois par semaine) et mon envie de courir ne cesse d’augmenter.
Je prends du plaisir dans ce sport donc je ne compte pas arrêter de si tôt. :) Mattis
Mercredi 17
Nicole |
DEVANT... :
Debout 7 heures, un coup d'oeil dehors, une journée printanière s'annonce.
Départ pour Castillon-de-Castets, trajet sans histoire. En passant au dessus du canal on voit qu'il y a un concours de pêche et que le parking à côté des tables de pique-nique est plein ! C'est pourtant là que l'on avait prévu de manger après l'épreuve...
Nous arrivons au village du départ; on nous dirige vers un pré servant de parking, Odile et Claude ne risquent pas de manquer le départ, ils sont déjà là ayant couché dans un gîte à Castets.
On va retirer les dossards. José arrive peu après mais toujours pas le reste de la troupe et le départ approche... Enfin Alain Peyroux arrive avec sa soeur qui s'est jointe à nous et Nicole. Cette dernière, handicapée par son dos, doit déclarer forfait.
C'est l'heure du départ et toujours pas de Theux, Odile nous dit de partir, ils attendent Alain qui a envoyé un message annonçant son arrivée.
Top départ par un chemin herbeux avec pas mal de trous, attention aux chevilles, puis une grande descente un peu boueuse jusqu'au canal. On est dans un petit groupe où l'allure est soutenue. L'objectif de moins de 2 heures nous pousse à nous accrocher.
On suit le canal par un petit chemin plat, on emprunte un escalier très raide qui nous casse les jambes, du coup on est un peu largués du groupe ! On traverse des grands prés avant de franchir un petit pont de singe. Ravito. On prend en vitesse un bout de banane, du coca et nous recollons au groupe.
Entrée dans un bois par une multitude de singles et de fossés plus boueux les uns que les autres, Jojo est à deux doigts de s'affaler dans la bouillasse ! Les coureurs du trail nous passent ce qui nous permet d'encourager José.
Enfin la dernière bosse longue et très pentue, on s'accroche comme on peut à nos compagnons de route et nous franchissons l'arrivée avec le groupe.
1 h 51 mn : l'objectif est largement atteint malgré la difficulté du parcours. Nicole nous indique le reste de la troupe est parti peu après le départ officiel. Un petit ravito et une bonne pression et nous allons nous changer à la voiture car nous sommes boueux à point.
Retour à l'arrivée pour assister à l'arrivée du reste de la 7e compagnie flanquée du bénévole faisant office de voiture balais. Le retard des Theux nous est expliqué : Alain n'a pas bien lu le blog indiquant le lieu de la course et s'est trompé de village. Le gentil bénévole offre la bière et nous décidons de redescendre au bord du canal pour tenter de trouver une table de libre; on a de la chance le président nous en a réservée une mais il était temps !
Chacun déballe ses victuailles et c'est comme d'habitude dans la bonne humeur que l'on clôture cette matinée.
Les Soucs
AU FIL DE L'EAU :
Avant 8h ça pique toujours un peu... Mais le réveil a sonné, 1er départ !
Arrivé à Castillon (le bon) je consulte le fameux nouveau groupe Whats... rien. Je questionne, il en manque 2 on les attend...
Peu dormi, c'est avec égratignures et bandage que je m'engage sur ce trail dénivelé dès les 1ers km, mon atelier bucheronnage a laissé des traces et sans mon dopage d'asthmatique je mets bien 3 km à trouver mon souffle. On rejoint les berges du canal, les racines des peupliers profusent, oui ce verbe n'existe pas mais j'aime bien, et devant moi un beau BB se prend les pingos dans l'une d'elles et fait un roule barrique, je le voyais bien aller plouffer dans les nappes de pollen... mais non, s'est relevé tel un judoka averti, sans bobo et repart, je le félicite et passe devant...
On traverse des champs, des prés d'osiers, des bois de peupliers tellement bien alignés aux feuillages progressifs du jaune au vert pastels... si j'étais artiste, j'en ferais un tableau !
Les écluses... le courant, la mousse, des ponts traversés, des bateaux ici et là... qu'il est loin le chrono... Bizarre, pas de nana à l'horizon, j'accélère, au hasard d'un virage à 180, j'aperçois une féminine, la féminine ! Trop loin, vais pas pouvoir batailler...
Pourtant, après une belle allure à faire peur aux grenouilles, une montée digne du km vertical de Barèges chez nos amis les Platons, une corde est déposée, et les trailers font la queue, je la rejoins !
Tout en haut elle cale, un chemin de marches si étroit que je n'ai d'autre possibilité que de l'aider... de l'encourager mais elle est à bout de souffle, je la quitte... mais je sens derrière moi un souffle, et si c'était un Master 4 ??? Fini la nature, les poissons, la boue, je sprinte jusqu'à la flamme...
On n'est pas nombreux mais encore un podium... de Master 4 :)
Place à la bonne humeur avec les copains
Agos
DERRIÈRE... :
Réveil à 6 h 30... vite il nous tarde de retrouver la 7e Compagnie de la PB et les chemins de traverses habituels.
Arrivée à Castets vers 9 heures. Pas un chat !!! Voilà le canal… Pas un poisson mais beaucoup de pécheurs. L’inquiétude nous gagne. Vite dring …dring… Nicole ! Le départ est à Castillon !!! Traditionnelle erreur de Rackham et Martine ! Les copains négocient le report du départ. OUF !!!
Ca y est, nous y sommes et la PB démarre ( la 7e compagnie comme d’habitude). Nous commençons par un chemin descendant, heureusement mais dans la boue !!! DUR mais cela ne dure pas et nous retrouvons un chemin agréable le long du canal.
Surprise, pas un concurrent à l’horizon !!!! Encore perdus...? Mais non, c’est vrai ! Il n’y a plus que nous sur le parcours ! Nous en profitons pour bavarder avec les bénévoles qui ramassent les balisages. Mais, (et merci aux bénévoles), nous arrivons au ravitaillement. Quel accueil !!! Sucré, salé, fruits, boissons, la totale.
Du coup nous bavardons encore un moment…. Allez ! ll faut y aller ! Plus que 3 km, que nous parcourons avec le sourire et dans la bonne humeur. Devant 3 amazones (Martine, Odile et Annie) et derrière, les 3 vétérans (Alain, Alain et Claude le courageux). Sans oublier JEFF le boute-en-train de la région avec ses jeux de mots.
Ca y est ! Nous sommes arrivés et nous franchissons la ligne, groupés. JEFF nous offre la bière. Beau geste ! Que nous apprécions beaucoup. Vraiment une super balade et des bénévoles de haute qualité. Sûr, nous reviendrons, et directement à Castillon mais il parait que le départ change tous les ans...
Je n’oublie pas Josianne et Jacky, le couple le plus performant de notre section, qui une nouvelle fois, fait un podium. Chapeau !!!
Fini le sport, vite aux voitures vers Castets pour le repas traditionnel. Notre président s’empare avec autorité de la dernière table et, enfin, nous déballons le ravitaillement. Nous ne nous étendons pas trop sur ce repas, convivial comme d’habitude (c’est toujours et encore la 7e compagnie). Dommage pour les absents…
Allez, un aurevoir et nous prenons le chemin du retour vers 15 heures. Une nouvelle page de l’odyssée de la Page Blanche COURIR se tourne.
L’histoire continue dimanche 14 avril à IZON. Rendez-vous vers 9 h 30 !
Martine et Rackham le Rouge
Rando Soucs :
Debout 7 heures, vite un regard dehors il fait enfin beau, cela met le moral au top. Départ pour Capian, on se gare facilement, il est encore tôt. Direction le lieu de départ où nous retrouvons José.
À l'inscription nous recevons une bouteille de vin vieux et un bracelet pour le ravitaillement d'arrivée. Les Theux arrivent : Martine est forfait pour des problèmes physiques. 9 h 15 départ de José, la rando démarre dans un quart d'heure et il manque toujours Christine Joël, Odile et Claude.
9 h 30 nous nous élançons, au début cheminement aisé à travers le vignoble puis bientôt descente rapide par un chemin boueux. On arrive bientôt au bord d'un lac et le parcours continue par des singles très glissants le long d'un bois. Alain a voulu s'aider en s'appuyant sur une branche qui a cédé, résultat mini chute sans mal.
Au 4e km très bon ravito. La suite nous propose une succession de montées et descentes aussi boueuses les unes que les autres entrecoupées de passage sur de petites routes où nous découvrons de belles propriétés. À 3 km du but, croisement entre une route bitumée et un chemin ultra pentu, là surprise, Martine auprès de la bénévole de service, celle-ci nous indique que le parcours emprunte le chemin très pentu et boueux et qu'il y a possibilité de filer direct à l'arrivée par la route. Après mûre réflexion, Alain prend l'option route et nous le chemin. Il était si boueux que j'y ai laissé une chaussure évitant la chute de justesse.
Peu avant l'arrivée nous trouvons José venu à notre rencontre. Il nous indiqua que les 4 retardataires avaient bien pris le départ.
Nous franchissons enfin la ligne d'arrivée après 11 km de galères boueuses, très bon ravito. Nous n'avions pas encore fini nos sandwichs que le reste de la troupe franchit à son tour l'arrivée.
Rando très belle rendue plus difficile par la boue, organisation impec. Mention spéciale à Claude qui, pour sa rentrée, a bien tenu le choc Josianne & Jacky
Rando Dubois :
Départ de chez Christine & Joël à 8h45 pour une arrivée prévue à CAPIAN vers 9h35. En arrivant, nous constatons le départ d'un groupe de marcheurs que nous croyons être le groupe de marche nordique... Quel ne fût pas notre étonnement en voyant Martine, seule et abandonnée, inquiète de ne pas nous voir !! Et oui... le départ était à 9h30 et nous, tout joyeux et plein d'entrain, l'avons raté pensant qu'il était à 10h !
Ni une! ni deux! Nous voilà partis pour 11 km de rando à travers champs, vignes, bois, route.... Le terrain était parfois détrempé et il a fallu montrer des talents d'équilibriste. La boue collait aux chaussures et nous alourdissait de plus en plus... Heureusement nous devions franchir deux petits ruisseaux et nous en avons profité pour nettoyer nos chaussures.
A mi-parcours, le ravitaillement fût le bienvenu avant de reprendre le périple à travers bois. A l'arrivée, 2h35 plus tard, nous nous retrouvons tous pour partager une bonne bière, un casse-croûte et un café.
Prochain rendez-vous CASTETS-EN-DORTHE
JOYEUSES PÂQUES À TOUS ! Odile & Claude
TRAIL 21 KM :
8h : pour l’itinéraire pas d’inquiétude, c’est celui que je prends pour aller chez mes zamis de Barsac, pas besoin d’allumer la voix langoureuse… Mais quel con !, la Toyotte collection de papa n’a pas de GPS… :))
Arrivé au bourg, des bagnoles partout, encore cette année les parkings débordent, mais je ne vois personne… Il est vrai que les couleurs bleu, jaune, magenta et black de nos tenues se font de plus de plus rares.
Aux stands, une file d’attente se démarque, pensais que c’était le ptit parcours ben non, c’est pour le 21 km ! Comme à la poissonnerie… j’y retire mon numéro :).
À côté « confirmation d’inscription des marcheurs », personne à questionner, je me jette sur le listing, youpi les Soucs sont stabilotés ! Mais où sont les autres ??? Départ de la rando dans 45 mn je garde espoir…
Après un ptit tour d’échauffement, je croise les copains… Comme moi ils n’ont pas plus de nouvelles…
Bla bla bla… et oh, 9h05 j’entends le rappel du départ ! Les secouristes sont en retard, coup d'envoi repoussé de 10 mn, OUFF !
C’est parti, pour cette première en groupe, la météo est excellente, cette semaine a été clémente le terrain ne devrait être pas trop dégueu…
Au 5e km, une nana bien penchée... "repousse" les mecs et provoque des écarts… j’arrive trop lancé pour m’arrêter, ce qui devait arriver arriva… je la bouscule (bien lire bouscule) en avant, repère son trésor perdu, sans m’arrêter me cambre comme un joueur de polo et lui gémis « vas-y fonce, je l’ai ! », elle s’exécute aussitôt, sans broncher, aucune mauvaise réflexion, aucun doute sur un éventuel machisme, elle a bien compris le langage du sportif.
Impatiente, elle se retourne dangereusement à chaque virage… Je la rassure en lui disant t’as le temps, fais gaffe à tes pieds, d’ailleurs ça me tarde pas de lui rendre… Certains coureurs ont des « odeurs », d’autres des « senteurs »…, vous laisse deviner…
Dès que le chemin s’est fait plus accueillant, me suis approché… près, très près… et lui ai enfin donné… tout ce qu’elle attendait de moi… ses ÉCOUTEURS !!!
Allez… reprenons le rythme, pas faciles ces sentiers, on peut pas se doubler, on plonge dans les sous-bois, et là, à plusieurs endroits où on ne les attend pas… trop trop booo ce pourpre au milieu du lierre vert ou des feuilles mortes… des Lathrées… et pas n’importe lesquelles… des Clandestines :) !
Je respire et pense… les copains… qui est arrivé, parti, quand… ont-ils eu les bonnes infos ? Ca me plait pas ce doute… me vient une idée… Si je créais un groupe whatsapp ???
Oui le blog, oui les mails… aujourd’hui on a plus régulièrement dans les mains ce bazar de mobile que l’ordi allumé… et sur le terrain, si changement… C’est décidé, pour la prochaine, chacun pourra faire son blablacar si besoin d’info urgente, encore faut-il que tout le monde aient les bonnes...
J’y crois pas… à peine quelques rangs de vignes passés que j’entends quoi ? Une notification SAMSUNG !!! Moi je vous avertis, rassure ou déçois mais… Je ne courrai JAMAIS avec !!!
Passage au Château du Grand Mouëys… splendide, au niveau du pigeonnier d’époque, un signaleur proclame : 6e féminine, oups… soit y’a du beau monde soit suis à la bourre car j’avais l’habitude de batailler avec le podium féminin… Il faut que je relance la machine !
Me voilà embarqué dans la grande descente d’un paysage du pays basque. Vallonné, vert, des « pottoks » se régalent, puis un champs de vigne arraché, où nos pieds s’enfoncent à chaque foulée comme s’ils se posaient sur des mottes de taupes, sensation bizarre d’amortis tout en douceur… de quoi ménager nos pauvres chevilles malmenées par les dévers et souches débordantes…
2/3 du parcours, je rejoins un groupe, et il est temps d’attaquer, au départ j’ai eu droit à la « senteur »… là c’est plutôt « l’odeur », bien moins agréable… on va replonger dans un bois et il ne sera plus possible de doubler, un peu tôt pour sprinter mais ça fait parti du jeu, un peu à court de souffle mais me voilà devant la file indienne, les sinus libérés, bien lancé tel un cheval d’obstacles, mais non, pas un pur sang arabe… plutôt un ptit lusitanien forcément, mais saute, vire à angle droit, bloque, repart… et tout d'un coup… je me vois bien partir satellisé entre les troncs d’arbres, non je ne rêve pas, je suis en l’air quand mon pied se retrouve retenu amoureusement par une liane !!!
Peut-être que j’apprécierais, autrement… mais là je me vois bien atterrir les 4 fers en l’air… Coup de bol, dégagé in extrémis, je repars l’honneur sauf et surtout le nez entier !
Plus loin un ravito… LE ravito, trail en quasi autosuffisance, il est bien apprécié. Mes papilles salivent déjà… Cette organisation est tellement bien rodée, je me sers à boire et en mode « dégustation au marché rural », je choisis le stand « fondue » avec un mélange salé/sucré emmental et chocolat ! Ca booste pour la dernière partie.
Au bout du chemin, croisement avec un passage de tracteur aux ornières boueuses, j’aperçois des marcheurs, à mon arrivée quelle ne fut pas mon agréable surprise de tomber nez à nez avec nos 3 joyeux lurons, quelle synchro ! Au vu des encouragements je me croyais le premier de la course, merciiii !!!
On remonte dans les vignes, j’aperçois le clocher du bourg, l’arrivée est proche, pas de douches, un frisson m’envahit, oui, j’ai bien fait de nettoyer ma voiture à fond la veille… vu l’état de mes fidèles crampons Salomon… les tapis vont s’en souvenir… ça c’est un coup à conduire pieds nus !
En attendant, on va faire un peu de décrassage et quelques photos en allant récupérer les copains mais faut pas qu’ils tardent trop car j’ai la dalle, heureusement ici le sandwich et la bière sont compris dans le forfait !!!
Ben… mon estomac a dû être bien patient… Les marcheurs raconteront ça mieux que moi…
Un beau moment d’effort en pleine nature... Agos
À La Parenthèse des Saveurs...
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Samedi 24 Florence |