Un rythme digne de l'équipage du traîneau de Père Noël, la perf de l'année et un dernier podium 2019 pour Mère Florence !

Rando 11 KM... :

Dernière rando de la saison. Nombreux partants pour cette rando des Pères Noël en Folie, en costume bien entendu, 8 randonneurs et 3 lutins. Encore meilleurs que les coureurs !

Le parcours a été changé à cause des pluies et vignobles inondés. Que de la route donc avec 2 ou 3 côtes mais rien de comparable avec Bouliac. Beaucoup de chance car pas de pluie. Un bon ravitaillement et retour à Vertheuil.

Nous avons bien marché et la section a été magnifique sur ce parcours. Que dire d’autre si ce n’est qu’un pantagruélique buffet nous attendait. Pas déçu encore une fois par ces organisateurs qui malgré les intempéries nous ont permis de passer un super dimanche dans le Médoc.

Nous reviendrons l’an prochain pour les 10 ans de cette course. Cela promet...

A l’année prochaine encore plus nombreux à la section COURIR.

Vive la Page Blanche. Alain

Rando 5 ou 7 KM... Médoc et Père Noël :

Après les pentes glissantes de Bouliac, en précisant que même le Père Noël ne s'y est aventuré, un parcours plus raisonnable nous attendait, lisse, stable, sans... em...bûche, enfin presque, je vous raconte après.

Du coup le Père Noël est venu, visiblement il adore les grappes de raisins. Seulement impossible de le reconnaître, car il y avait des usurpateurs, photos à l'appui.

Avec Marika, nous avions décidé de le démasquer en faisant le 5 km, cela nous permettait de surveiller les autres parcours. Et là, je crois qu'un Lutin a découvert notre tactique, parce-qu'une flèche de notre propre parcours nous faisait tourner en rond !

Avec persévérance nous avons retrouvé le bon chemin et sommes arrivés dans la joie et la bonne humeur. .

Nous n'avons pas pu voir le Père Noël,

l'année prochaine nous essaierons une autre tactique. Wild

Course 11 KM... :

Nous ne voulions pas rater la dernière course de la section. La célèbre course des Pères Noël, cette année à Vertheuil.

Arrivés sur place, on retrouve le reste des marcheurs. Le temps est idéal car pas de pluie ni de froid. La marche commence avec nos lutins, les 5 et 11 km partent en même temps. Une erreur de signalisation nous fait perdre bien 15 minutes mais nous finissons par trouver le bon chemin.

J'ai fini la marche en courant car je ne voulais pas louper le début de la course. Flo, Agostinho et moi, tous les trois bien déguisés avec nos hottes pleines de bonbons, entamons la course.

Belle course et bonne ambiance. 11 km sur goudron pour ne pas salir nos souliers. Un plaisir de courir à côté de Flo et Agostinho et j'espère que cela se répétera encore de nombreuses années.

Désolé de n'avoir pas pu rester au buffet, mais le lendemain il y avait école !

Joyeux Noël à tous et à l'année prochaine ! ;-) . Fernando

Un dénivelé digne d'une sortie montagne, de la boue mouvante à m'en piquer une de mes  Salomon toutes neuves..., la Rive Droite réserve bien des surprises !

Trail 11 KM... :

Premier Trail de Bouliac pour ma part…je suis resté timidement sur le 11 km, mais frustré à l’arrivée car j’en voulais encore !!! Mes nouveaux souliers et chaussettes, eux, ne tenaient pas le même discours…

Un temps maussade mais sans pluie, une brochette de traileurs motivés et le départ est donné pour une boucle vallonnée. Dès le deuxième kilomètre, la première côte calme les ardeurs… dur de doubler dans ces petits singles, sauf en passant là où les autres ne veulent pas s’aventurer. J’aime la boue, alors c’est parti… Les kilomètres s’enchaînent facilement dans les sous-bois, les montées se font de plus en plus intenses mais le rythme et le sourire demeurent.

La première féminine du 20 km me double telle une gazelle… j’allonge ma foulée mais rien n’y fait, elle me dépose littéralement ! Le dernier kilomètre est déjà en vue… zut, j’en veux encore......L’an prochain, c’est sûr, je serai sur le 20 km !

Désolé de ne pas avoir pu partager le vin chaud avec le reste de l’équipe,

promis, je prendrai double ration l’an prochain. "Trailement vôtre". Vincent

Rando 10 KM... :

Départ assez brut, un peu tristounet sous un ciel gris, mais sans pluie, quelle chance !

Chemins, sentiers étroits, d'un côté les ronces, de l'autre fossé d'eau en contrebas. Perte de temps, concentration extrême pour ne pas tomber lors des montées et descentes boueuses et glissantes.

Mes deux bâtons m'ont été d'un grand secours et l'aide de Martine bien salutaire ! Plus détendue quand enfin il y avait du plat. La nuit tombait à l'arrivée. Bref buffet, un peu de charcuterie, un peu de vin pour accompagner (réconfortant) pendant les remises de prix.

Puis les au-revoir jusqu'à la prochaine rencontre... Jocelyne

3 CROSSEURS 3 PODIUMS !   6 MARCHEURS 6 FINISHEURS !

Cross... :

Coucou.

C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai retrouvé les coureurs et les marcheurs de la section ce samedi matin et le temps était aussi avec nous.

Allez, viens, on va faire un petit cross ? C’est quoi ? Oh, juste une petite distance avec des bouts de bois :-) , 1 petite boucle et 3 grandes, 3 passages de bosse et des gros troncs d’arbres glissants.

Départ à 9h00, José démarre en mode fusée, je reste avec Florence pour être plus relax, 14,5km/h ça va piquer !

La bosse et re-la bosse ça calme l'allure, premier tronc ok, 2e ok, 3e ok, facile ! 1er triple ok, si c’est ça un cross haha, 2e triple tronc et là, en haut de l’obstacle, glissade et boum !

Réception sur les poumons, souffle coupé je récupère Florence : "mais tu étais où ?" , je discutais avec un arbre ! La suite n’est que répétition sauf les obstacles en marchant..

C’était quand même une très bonne journée

et toujours un plaisir de vous retrouver... Emmanuel

Rando SO... :

La chance était avec nous pour le cross SO à Gujan !

En effet, après avoir :

- vu nos 3 coureurs se démener au milieu de peu de participants, car en effet, il y a avait beaucoup plus d'organisateurs et de gendarmes,

- avoir assisté aux podiums de Florence et José,

- fait une jolie marche d'environ 6 km avec des moustiques affamés, (et sans se perdre...),

- avoir goûté aux délicieux arbouses omniprésents sur notre chemin,

nous sommes enfin entrés sous la tente du journal, et là, le déluge... !

Nous étions bien heureux d'être à couvert, avec nos couverts, car il faut dire que le traiteur nous a bien traités ;) .

La conclusion est donc évidente : malgré le vent glacial sous la tente, la chaleur humaine de l'équipe nous permet de toujours braver les tempêtes et de ne garder que d'excellents souvenirs.

C'est d'ailleurs pour cela qu'au delà des performances, importantes certes,

on y reviendra, c'est sûr et certain ;) . Marika

HUMMM... LES HUÎTRES DU BANC D'ARGUIN BIEN AU SEC...

Course Nature... :

Hello, que dire sur la course... Beau parcours varié dans les bois avec un passage sur le domaine de Certes et sur piste cyclable.

A refaire, surtout que c'est à côté de chez moi :)

Très contente de mon chrono pour une reprise sans entraînement sérieux.

Et toujours un plaisir

de faire un coucou aux randonneurs sur le parcours. Voleak

Rando... SO... :

Lever de bonne heure, il pleut encore sur Ayguemorte, Jojo grogne, on va encore se tremper.

Arrivés à Lanton en même temps que les Theux, on est encore garés côte à côte. Direction le départ de la rando où nous retrouvons Joël et Christine ainsi que leurs amis. Il ne manque plus que Wilfrid et Marika. 9 h 15 toujours personne. Alain consulte son portable et découvre un message reçu à 8 h indiquant que Marika était souffrante et qu'ils ne venaient donc pas !

Départ immédiat, pour commencer une boucle très agréable de 3 km nous faisant passer le long du bassin et traverser le port de Lanton. Ensuite une longue traversée de forêt. Au quatrième km la meute des trailers arrive derrière nous. Le sentier étant étroit on doit se mettre sur le côté pour laisser passer le peloton. Ce qui nous permet d'encourager José, Flo et Voléak.

On termine le parcours par des traversées de lotissements nous faisant découvrir de très belles demeures. Les coureurs passés depuis longtemps, le balisage a été enlevé et, miracle, Alain meneur d'allure ne s'est pas trompé !

Nous sommes allés ensuite nous restaurer chez les amis des Sarasa qui nous ont fort aimablement accueillis.

Encore une très bonne journée de passée entre copains. Jacky

Rando... SO... :

Enfin une rando sans perte de marcheurs, ni d’erreurs de parcours, faut dire que nous faisons cette rando depuis longtemps et que nous sommes salués par chaque pin au cri de "vive la 7e compagnie" tout au long du parcours.

Enfin tout ça pour vous dire que nous reviendrons à Lanton l’an prochain d’autant que, après cette balade bucolique à travers la pinède et l’air marin, nous avons été accueillis par Odile et Claude, randonneurs occasionnels avec la PB mais peut-être futurs adhérents, dans leur demeure au bord du bassin à Lanton.

Repas tiré du sac mais pas que… En effet, quelques douzaines d’huîtres du banc d’Arguin ouvertes par Jo et moi-même sans coquilles bien-sûr (du grand Art sans blessure), saucisses, pâté, tartes chaudes, bref toute la panoplie du bon vivant. Je n’oublie pas le célèbre gâteau portugais venu directement de Lisbonne par la voie diplomatique (Notre président José est très connu). Du bon vin de toutes les couleurs et des bulles.

La journée à Lanton s’est terminée juste avant la nuit. Une nouvelle fois, la section COURIR a justifié sa réputation de franche camaraderie dans le sport et la convivialité.

Rendez-vous au Cross de Gujan. Alain

P.S. :

Voleak oublie de préciser que son GPS lui trace des routes tellement directes qu'elle est la seule à traverser les flaques par le milieu sans se soucier de la profondeur, à s'en retrouver l'eau jusqu'aux genoux !

Hop hop hop... je tiens à rectifier les dires d'Alain... c'est la recette et la matière première "bolachas Maria" qui viennent de Lisbonne, pas le gâteau ! Et le clafoutiflan chaud aux pommes  de Christine et Joël + la spécialité Bretonne de Odile ont ravi les plus gourmands !

Et, plus grave, je tiens à prévenir Odile et Claude qu'un procès est en cours... nous n'avons été mis au courant qu'après le repas, que nous étions invités sur une zone inondable !!!

Merci à tous pour cette journée. Agos

LE BLANC SUCRÉ REND FOUS !     15 partants 10 arrivants 10 podiums 5 à la maison !

Rando Nordique Bucolique... 20 KM... :

Témoignage en photos des 5 rescapés d'un groupe de 15 aventuriers partis à l'assaut du CIRON, cette rivière mystérieuse où l'eau se transforme au cours de son parcours en un miraculeux breuvage : le SAUTERNES.

Une bonne journée pour nos couleurs mais dans les résultats, il manque celui de la rando 20 km où nous avons trusté les 5 premières places grâce à une formidable course d’équipe...

Alain

Rando Nordique 14 KM :

1ère course en mode marche nordique et vraiment top avec la chance sur la météo.

Cela m'a fait quand même bizarre de voir des coureurs passer à côté de moi.

J'avais envie de runner avec eux ! Voléak

Rando Nordique 14 KM :

C'était une super balade avec un très bon temps (pas de pluie) comparé à la semaine qui a suivi... Le parcours était très sympathique et ça nous a fait plaisir de voir et rencontrer les marcheurs/coureurs de la Page Blanche. C'était une très bonne matinée, merci beaucoup.

On n'a pas pu rester mais une prochaine fois avec grand plaisir.

À bientôt. Déborah

Rando Nordique 14 KM :

Depuis le 25 mai 2017 et la course de Saint-Caprais, je n’avais pas repris de dossard avec la section Courir. C’est chose faite avec une découverte sur la marche nordique, discipline que j’ai adoptée par goût… et par raison.

Quel plaisir de revoir les copines et copains de la PB ! Beaucoup de chance pour les compétiteurs du samedi car la météo était clémente et propice.

Les 14,5 km du beau parcours vallonné et glissant m’ont permis de faire connaissance avec Manu qui m’avait doublé et que j’ai rattrapé à la faveur d’une erreur de parcours de celui-ci, au huitième kilomètre. Je me suis accroché et nous avons fini ensemble, juste devant Déborah et Mickaël.

J’ai trouvé que l’organisation était bonne, beaucoup de signaleurs… ce qui n’a pas empêché la bande Rackham de filer sur Barsac !

Merci à Marika et Wilfrid pour leur hospitalité.

Excellent moment passé ensemble après les épreuves. Jean-Louis

Rando Nordique 14 KM :

Superbe journée pourtant annoncée comme pluvieuse. Sympa de faire une course en marche nordique et de croiser les coureurs (;) (clin d'oeil à José). Intéressant de faire une course chronométrée sur une marche et finir même premier dans sa catégorie... bon oui j'étais seul dans ma catégorie, mais c'était cool.

Super agréable mais j'ai découvert des muscles insoupçonnés !!!! AHaHaH. Mickaël

TRAIL 33 KM :

Un échauffement musical rythmé par 2 pom pom boys... le groupe commence avec le sourire mais l'esprit nature reprend le dessus, sur 33 bornes on aura le temps de s'échauffer ! Les 2 mignonnets se retrouvent tout seuls à gigoter.

Ciel bizarrement dégagé, frais, je pars couvert, me retrouve rapidement avec la première féminine qui me rappelle la nana de Millau qui m'a doublé au 93e... Mais, elle aussi, a préféré ralentir le rythme.

Contrairement aux terres de Fronsac le sol est sablonneux beaucoup moins glissant et collant. le passage qui longe le Ciron est sinueux et étroit, pile au moment où les 2 premiers du 25 km me rejoignent... je sens encore les orties de les avoir sportivement, mais rageusement, laissé passer !

En plein virage je croise Voléak bien lancée, puis Mickaël et Déborah bien coordonnés, puis Emmanuel et Jean-Louis dont je félicite l'esthétique de sa tenue, je remarque qu'Emmanuel marche alors en mode incognito et que les 2 compères sont désolidarisés...

La fin est plus vallonnée et m'oblige à marcher dans les côtes, un panneau indiquant les 2 derniers km me donne le coup de fouet pour terminer à bonne allure et pas très propre !

Le temps de me restaurer, nos premiers marcheurs arrivent, Florence bon train, d'autres marcheurs... et Jocelyne. Mais il en manque et pas des moindres !

Où est donc passée la 7e compagnie menée par Alain et Wild ? L'humidité aura raison de notre patience, après avoir trinqué avec le liquoreux et fait la photo de groupe (des arrivants) nous voilà partis prendre une agréable douche méritée chez les barsacais régionaux.

Le brush finalisé, Marika nous informe de l'arrivée des 5 mercenaires à travers champs, chemins et routes mais... HORS CIRCUIT et sans passer par la case ARRIVÉE !

Ceux-là se retrouvant plus près du bercail que de l'arrivée, ont choisi de regagner la tanière.

Nous voilà donc repartis récupérer bouteilles et véhicules sous une pluie battante.

A notre retour, les explications plus rocambolesques les unes que les autres de nos fugueurs alimentent un exotique apéritif servi par notre hôtesse et c'est à 16 h que nous passons à table pour un goûter salé sucré bien fourni !

Le retour de notre ancien président Jean-Louis ne sera pas passé inaperçu, merci pour l'accueil de Marika & Wild, des attentions de chacun qui ont rendu ce rassemblement si festif !

Ptit mot sportif : 15 inscriptions, 10 arrivants, 10 podiums ! Agos

Rando spéciale pour la famille THEUX

Un Podium !!!... Miss Oriane a enfin franchi la ligne d'arrivée !!!

3,450 kg de muscles... Une foulée de 50 cm...

Une vraie poupée.

Les parents Laetitia et Nicolas se portent bien.

Mamie Martine et Papi Rackam Le Rouge aussi.

Félicitations à toute la famille !

Parfait, très beau temps et chemins magnifiques.

Rando... :

Pas d'exploit pour nos 2 féminines... elles terminent dernières après avoir voulu sauver des chats sauvages, et surtout à tailler la bavette avec les bénévoles venant de Carignan.

Rando et trail à refaire... Alain

MILLAU,   LE COUP CA VAUT !

100 km course... :

Le temps était parfait, un mélange entre nuages et apparitions ensoleillées nous a permis d'apprécier la course sans trop souffrir de celui-ci. Une température aux alentours des 20°, des plus agréables pour une course de longue haleine. Un départ à un rythme tranquille pour ne pas s'épuiser nous a permis de passer le marathon en 6 h pour moi, 7 h pour Déborah et Emmanuel qui faisaient le parcours en marche nordique.

Malheureusement pour eux, ils n'ont pu finir la course. Déborah, blessée aux pieds depuis le 25ème km, a dû s'arrêter au 60ème km. Déçue car les muscles tenaient bon mais la route penchée d'un côté ou d'un autre, aura eu raison de sa cheville et de sa hanche, sans compter les ampoules aux pieds.

Pour Emmanuel, ce fut différent, il accompagnait Déborah jusqu'aux 60 km. Le temps d'arriver au ravitaillement du 65ème km, on lui annonce qu'il arrivera juste après la barrière horaire de minuit à St-Affrique et qu'ils ne le laisseront pas repartir. Donc il choisit de ne pas repartir et d'attendre, malgré lui, le bus qui le ramènera à Millau.

Ils l'auront quand même fait sans aucun accompagnateur en vélo. Et ce n'est que partie remise mais cette fois-ci avec accompagnateurs.

Quant à moi, je réussis à terminer péniblement la course. Les 70 km réalisés plutôt aisément, la rencontre avec José et Florence sur le parcours fut une véritablement bouffée d'oxygène et de regain en motivation. Ils étaient très bien lancés et en très bonne forme, ce qui nous a fait très plaisir à voir.

Les 30 derniers km furent réalisés en marchant car les courbatures parcouraient tout mon corps. C'est au bout de 16 heures 20 minutes de course épique, une traversée dans le froid et la nuit, que l'aboutissement de cette épreuve est arrivée...

Un vrai plaisir de devenir un "100 Bornard", le tout en Five Fingers

et en ayant commencé à courir il y a juste 1 an et demi. Mickael

100 km marche nordique... :

Au départ, beaucoup de stress et d'excitation.

Première grande course pour moi, je n'avais jamais marché plus de 30 km. Mes seules «courses», avant ça, étaient les randonnées d'Ambazac et de Saint-Aubin. J'appréhendais énormément Millau mais je voulais aller le plus loin possible.

Quand le départ a été lancé, le stress est retombé. Mon père et Mika ont commencé avec moi puis Mika est parti à son rythme.

Avec mon père on faisait de la marche rapide sur les plats et les montées puis on courait dans les descentes. Tout se passait super bien. On avait un très bon rythme et on aurait dû finir le marathon en 6h-6h30. Mais à partir du 25ème km environ, j'ai commencé à avoir très mal sur le côté du pied droit... j'ai continué mais j'ai perdu de la vitesse... j'ai quand même voulu aller le plus loin possible et mon père m'a aidée et ne m'a pas lâchée.

Finalement j'ai abandonné au 60ème km avec un pied gonflé et très douloureux... mais je ne regrette pas et ça a été une expérience incroyable.

Merci beaucoup pour cette opportunité. Déborah

100 km marche puis course mais... :

C'est une expérience qui reste incroyable à vivre avec sa fille. Un très beau parcours ouvert aux marcheurs nordiques, des paysages vraiment beaux.

Je vous le recommande :-) Emmanuel

Assistante voiture... :

Indéniablement : grande admiration pour vous tous athlètes qui se surpassent, à pieds ou en 2 roues et pour ta réussite, ton exploit victorieux au résultat époustouflant ! Quel défi ! Un de plus à ton arc ! Tellement ravie d'avoir pu partager cette aventure même si en coulisses mais aux premières loges, grâce à un pilote hors pair qui a su nous trouver les meilleures places et qui finit aussi sur la ligne d'arrivée, quel honneur !

Mérito, Incrível, Louvável, Louca, Aventura, Única.

Merci Campeão Gostinho e filho ! Maria

Assistant voiture... :

Fier de mon papa !

Content d'avoir pu partager ces moments et cette course qui était un super défi après toutes ces années de course à pieds et de marathons :)

J'ai apprécié te suivre tout au long de la journée et aussi t'accompagner à certains moments, parcourir les derniers km avec toi et franchir la ligne de chrono !

Muito obrigado et bravo Pap's ! Alex

"Suiveuse" à vélo… de mon coach ! Quelle super aventure !

Quand José a commencé à parler de cette course des 100 km, j’ai pensé faire le marathon et le suivre ensuite à vélo, mais il nous a semblé compliqué de pouvoir se retrouver après, donc je lui ai proposé de le suivre à vélo sur toute la distance.

Entraînements plus longs, sorties seul pour José et ensemble aussi. Je le suis pour être dans «l’ambiance» mais on se connait bien puisqu’on court déjà ensemble et c’est plutôt un point positif pour mieux se «comprendre». Je souhaitais également tester ma nouvelle selle en gel changée pour l’occasion, elle est parfaite !

Je me suis promis de l’accompagner, de l’encourager jusqu’au bout de cette course, d’être là pour lui apporter l’aide matérielle, ravitaillements (graines, céréales, fruits secs, pâtes de fruits, barres, gel, boisson, compote…), vêtements… et mentale aussi si besoin, mais je sais qu’il a déjà un très fort mental et qu’il est très endurant.

Nous récupérons les dossards le vendredi soir, le départ de la course a lieu le samedi matin à Millau à 10 h. Je pars en avance avec d’autres suiveurs à vélo me positionner au 7ème km à AGUESSAC pour attendre «mon coureur». Je rencontre d’autres coureurs qui sont là pour les encouragements et qui ont déjà fait cette course plusieurs fois, dont un avec 18 participations ! C’est la 48ème édition cette année, en attendant ils me racontent leurs anecdotes.

Le temps est idéal, pas chaud, pas froid, pas de pluie ! Un ravitaillement tous les 5 km et très bien fourni. Parcours assez plat sur environ 20 km, vallonné jusqu’au 42 km, Millau. José court, tranquille, en forme, motivé, il a le moral et s’arrête à tous les ravitaillements… chose rare !!!

Le viaduc est très impressionnant, nous passons dessous en marchant un peu, ça monte. Il passe aux 50 km… à l’aise ! Super ambiance, encouragements, échanges avec d’autres coureurs, suiveurs… Je «motive» José en lui disant qu’il reste 50 km puis un marathon… un semi… un dix… puis un...

Son fils Alexandre et sa sœur Marie nous retrouvent sur différents endroits du parcours. Les côtes de Tiergues et St-Affrique sont dures, longues… nous marchons un peu.

Sur le retour, nous croisons Mickaël et sa mère qui le suit à vélo, plus tard Emmanuel et sa fille Déborah qui marchent, il fait très sombre. Nous repassons sous le viaduc, dans la nuit, il commence à faire frais. L’arrivée approche, 90km, 95 km, 99 km… plus qu’UN km.

Je pars devant pour aller à l’arrivée déposer mon vélo et rejoindre José en courant jusqu’au podium, avec Alex aussi.

Quel chrono !!!! Incroyable ! Mais José vous racontera mieux que moi son ressenti… c’est lui qui a couru !!

J’ai vécu une super expérience en tant que sportive… j’étais très motivée et suis très contente d’avoir vécu une telle aventure en duo !

Et humainement, une belle leçon de courage, d’humilité, de partage, de rencontre…

Mon coach a assuré cette course jusqu’au bout !!! Trop fort… encore bravo ! Merci de m’avoir acceptée en «suiveuse» et cette journée, tout compte fait, est… vite passée !!!

Bien sportivement, avec des bises à vous tous, à bientôt.

La pisteuse-suiveuse… Florence

100 km course... :

Millau... dans la tête d'Agostinho.

Le mer. 16 janv. 2019 à 18:19

Bonjour M. Duarte, je vous contacte car je suis intéressé par la section courir.

Emmanuel Eeckman

Et tout a commencé...

Emmanuel, le père, a mon âge. Avec le gendre Mickaël ils font l'ouverture de la saison lors d'un cani-cross alors que la section n'est pas sortie de l'hivernage. Des courses, une rando, la fille Déborah, s'en suivent.

Au fil des sorties nous échangeons sur nos expériences et abordons la longue distance, un des projets évoqués est bien là, ancré dans les tablettes de la famille, ils seront à Millau fin septembre !

Mon marathon annuel n'est pas encore fixé et partager cette expérience en groupe me séduit doublement, c'est maintenant !

La saison se déroule, les personnalités se dévoilent, les affinités se créent, la confiance s'installe... Florence apprend le projet et envisage son marathon mais se propose spontanément comme accompagnante à vélo.

Le sport c'est tout ça aussi.

La sortie de groupe de la section, en juin, se passe à Ambazac, toute la famille Eeckman est partante. Une participation éprouvante au marathon de Royan la semaine précédente pour Emmanuel et Mickaël les amène à sélectionner le trail 32 km, Déborah part sur la rando 18 km, Florence choisit le trail 20 km et Agostinho se lance sur le 52 km pour profiler une sortie longue et se plonger dans la prépa du 100 bornes.

Le terrain gras suite à une pluie battante matinale n'a pas attaqué le moral de la troupe, de bonnes sensations pour tous, la distance mythique fait son chemin...

La famille Eeckman est fermement décidée, je les inscris mi août. Moi, après blessures à Cissac et Soulac sur de courtes distances et trop peu d'entrainement pendant les congés, je doute.

Trop tard pour respecter le plan préconisé, je personnalise mes sorties de 3 et 4 heures tous les 2 jours, les km sont là mais le rythme n'est pas facile à trouver, le doute persiste. Florence se teste à vélo, me motive.

Autour de moi j'entends les extrêmes...

"cette distance n'est pas faite pour le corps humain..."

"vas-y, toi tu peux...!"

Ma soeur euphorique s'y met : "zennnn aucune date limite pour moi, quand tu es prêt tu t'inscris et je prends mon billet, je veux être là, avec toi !"

"vous devez le faire, vous le finirez, j'en suis sûre"

"moi je l'ai fait plusieurs fois j'en ai abandonné 2, à 84 et 96 km, mais vas-y, toi t'y arriveras... !!!"

Épreuve le 28, clôture d'inscription le 22, dernière sortie de 4 heures le 22 au matin... Je diminue l'allure, avec plus de régularité ça peut passer... à 23 h 30 je clique sur OK, me voilà avec le dossard 1286 dernier de la liste !

A l'annonce de la nouvelle, famille, amis...

"Bravo. C'est déjà une première victoire. Un pas après l'autre tu arriveras au bout ! Bonne course ! Toute la famille est avec toi."

"Nous avions oublié ce we de ouf que vous allez vivre et sincèrement nous vous souhaitons bonne chance ! Nous penserons fort à vous"

L'aventure prend corps dès le vendredi, Les Causses c'est pas à côté... passé Toulouse on cherche déjà le viaduc mais blabla, musique, "Les Gens" de Maé... et je rate la sortie de Montauban !

Sur place, contrairement à la plupart des villages/stands marathons, peu d'ambiance, un cocktail de détermination et d'inquiétude se fait sentir.

Dossard, maillot, consignes, étude du profil de la course, photos d'avant le départ tant qu'on a le sourire et la fraîcheur !

La famille Eeckman est installée, rdv le lendemain matin au départ.

Derniers messages avant la dernière nuit...

"N'oublie pas, dans les coups de moins bien, que tu as de fidèles supporters loin des yeux mais près du cœur..."

"Je t'envoie un souffle dans le dos..."

"Suis en train de transpirer comme un dératé et j'ai une pensée pour toi, plein de tout ce que tu auras besoin pour arriver à ton but..."

"Nous 3 te souhaitons beaucoup de courage pour cette épreuve physique et psychologique..."

Millau... dans les jambes d'Agostinho.

Tenue, dossard, boisson énergétique, gâteau magique, vêtement chaud j'ai ça. Les forums épluchés à la loupe, Florence a prévu batterie supplémentaire pour le..., trousse médicale, fruits secs, compotes, gels, eau, silencieusement je laisse faire, un buffet bien riche, ravitaillements tous les 5 km ça devrait suffire, mais sait-on jamais ?

La météo est idéale, avant notre départ les cyclos partent se placer au 7e kilo, voilà Florence en mode cyclotouriste à panier et sacs à dos, qui trace sa route !

Parmi la foule, un visage connu, je salue Nadine, sans dossard, elle est accompagnante vélo d'Adrienne partante sur le 100 km, deux anciennes de la section.

J'avais promis à la famille Eeckman de vivre ensemble la première heure du périple mais dommage nous n'avons pas pu nous réunir avant, chacun prend son départ à son rythme...

Un départ calme, avec fanfare militaire.

Rythme à la fois prudent et ambitieux qu'il va rapidement falloir ajuster au fil des km, je cherche les lièvres/meneurs d'allures... rien à l'horizon ! Je remonte bizarrement beaucoup de participants. Qui n'est pas à sa place ? La suite nous le dira...

J'aperçois le ravito du 5e km, un verre de glucose, un abricot sec, chrono = 30 mn... j'aime les comptes ronds... me cale sur cette vitesse, 10 à l'heure et la calculette passe automatiquement sur ON... 10 km/h, 100 km... 10 h, pour mon premier ce serait génial mais... 1 minute de plus à chaque km et c'est presque +2 heures à l'arrivée ! Donc en prévoyant les arrêts aux stands, la fatigue, les difficultés... et l'imprévu... ce n'est pas envisageable mais hors de question d'accélérer !

Bien rangés par zones de dossards, les premiers vélos apparaissent, je feinte, me dissimule derrière un groupe mais ma suiveuse, telle un douanier, veille au passage et me colle au train, le métronome est activé.

Ca roule plutôt bien. Que du goudron, mais le marathon traverse un beau paysage sauvage, ruisseaux, fleuves, forêts, rochers, falaises, campings et villages perchés, qui nourrit l'esprit et transporte le corps en dehors du circuit.

Jusqu'à ce qu'un coureur, vélo, spectateur... voire une soeur et un fils, te ramènent sur le tapis roulant avec une ferveur si puissante que le compteur passe en mode veille et te revoilà LE coureur de l'épreuve !

Ceux qui me précèdent, me suivent, spectateurs, habitants, même les bergers tout là-haut surement, tous entendent le passage d'Agostinhooooooo, Bravooooooo, Forçaaaa !

Au 25e km, 2h31 de course, 385e place, secrètement j'observe les autres, tous les autres. Absorber leurs forces, leurs faiblesses, prévoir les bagages pour la suite du voyage. J'encourage ceux qui grimacent, boitent, flanchent si tôt, je zoome jalousement sur ceux en point de mire mais la ligne est encore si loin.

Pas de lassitude que je craignais, pas d'ennui, devant, derrière, à côté, photos, blabla, l'accompagnante est là... quelque part.

Les discussions fusent, les autres s'en mêlent, ils me tutoient, on fait une sortie famille !!!

Au 40e nous voilà revenus dans la ville avec une circulation à couper les jambes, coureurs, cyclos, 4x4... qui est prioritaire au rond point ? Qui veut ! Incroyable...

Le marathon bouclé en 4h20, 322e... nous voilà repartis pour l'autre face du 33 tours...

Changement de décor, la boussole tournée vers le pont, oh pardon, le viaduc ! Et là au pied... le projecteur doré pointe son faisceau sur la chenille désarticulée, tout le monde marche. Pourtant j'ai les cuisses mais la mémoire du profil me ramène à la raison, t'es pas encore arrivé à la moitié !

Au 50e, 5h14, comme prévu la première côte a avalé son quart d'heure... je laisse dérouler, même en descente cette pente de 3 km paraît longue et fait réfléchir sur les 5 km de faux plat puis 5 km de côte à suivre. Les concurrents s'entrelacent, je te double, tu me doubles, les personnalités s'affirment.

60e, Maria agite la banderole fétiche aux couleurs vert/rouge/jaune, bon ok elle provient d'un précédent championnat de foot mais reste symbolique et bien voyante de loin, RUMO À VITÓRIA !

A ce ravitaillement le verre de glucose est chaud, je me rabats sur du Yop frais, comme il ne reste qu'un fond, je complète avec de l'Orangina, drôle de mixture mais j'ai soif de sucre frais... espérons que le mélange me soit que bénéfique !

65e, je croise les premiers qui "rentrent"... 0 considération lors de mes encouragements, ils vont finir entre 7 et 8 h et arriveront bien avant la nuit eux, et alors ?

71e, 7h46, 235e, informations transmises par flor.millau.fr... j'en ai gagné des places ! J'en profite pour prendre des "nouvelles" virtuelles de la troupe... ils me suivent...

Centre-ville de Santa-Affrica, Alex me rejoint, il me fait part d'un encouragement qui arrive pile-poil pour la boucle qui marque le retour vers l'arrivée, quel timing !

"Bonne chance pour ta course, le temps passe mais toujours de nouveaux défis..."

Avant de reprendre la montée, un peu de pommade magique camphrée de l'ostéo qui rafraîchit articulations et muscles et dégage les narines.

75e, ce sont les autres qui me croisent et m'encouragent... c'est tellement bon... sachant qu'il leur reste tellement dur à faire, je leur retourne sincèrement les bravos.

Nous croisons les fameux meneurs d'allures, 10h30, 11h, 11h30, les trois ensemble... sans coureurs derrière... avec 10 km de retard... que s'est-il passé ?

Vers le 80e, je crois apercevoir une silhouette connue mais franchement, je crains le mirage, non c'est bien Mickaël ! D'une joie non dissimulée nous nous jetons dans les bras et embrassons maman. Mutuellement rassurés, à regrets, mais pour la bonne cause, chacun reprend son cap.

85e, nous croisons un petit groupe de coureurs et de cyclistes, nous reconnaissons Adrienne avec une allure rassurante, nous nous saluons sportivement.

Nous passons dans le creux de la vallée, la lumière et la température baissent, vivement le prochain ravitaillement car la remontée vers le viaduc ne sera pas loin, une dernière séance de marche prévisible en mode nocturne avant le dernier "sprint" !

Même à ce niveau du parcours nous croisons encore des participants, la pénombre uniformise les silhouettes, nous avons failli rater papa Eeckman et Déborah, en se retournant, il a vu mon prénom sur le maillot et me rappelle à l'ordre ! Déb confirme qu'elle est blessée depuis pas mal de km, la poursuite devient critique et pour ne pas les retarder ni les refroidir je les invite à s'élancer...

Au ravito une odeur de potage, pas la peine d'insister, il est le bienvenu. Je profite de l'arrêt pour éclairer le vélo, me couvrir les bras et nous voilà (re)partis à l'assaut de la colline du viaduc, un tronçon complètement dans le noir. Malgré l'événement, le viaduc lui-même n'est pas très illuminé.

La descente est plus rapide mais j'arrive à me faire doubler par une nana, pardon, une sportive, seule et sans lumière ! M'en fous, j'ai calculé, recalculé, avec un peu de marge je peux arriver avant les 12 heures et Maria et Alex nous attendent au 95e... On va encore rigoler qques minutes et après ce sera le finish !!!

Comme prévu, arrivés sur le plat, mon fan club toujours aussi dynamique est bien là. Pas faim, pas soif, pourquoi s'arrêter au dernier stand ? A l'aller j'avais repéré le panneau du 99e... j'ai envie de prendre une dernière photo avant le tapis rouge... rdv est pris sous le panneau.

Alex n'a pas l'air décidé de remonter dans la voiture "balai"... il a lui aussi prévu son finish... trotter avec Pap's jusqu'au bout de l'aventure ! Ca tombe bien, le rodage de ses nouvelles New Balance est terminé... j'espère qu'il s'est échauffé car ce n'est pas maintenant que j'ai prévu de ralentir !

C'est bon train que nous repartons, rejoignons la ptite solitaire qui s'est mise à marcher, malgré mes encouragements elle ne pourra pas reprendre notre allure.

99e ! Où est Charlie, ah non, où est Maria ???? Sniff, nous ne la retrouverons que plus tard...

Clic, clac, photos souvenirs prévues et c'est parti pour la dernière borne, le dernier kilo, la dernière ligne, qui n'est ni droite, ni plate, les banderoles et la voix du micro sont perceptibles dans le parc du départ...

11h41'39, 233e / 1008 arrivants / 1286 inscrits, MA boucle est bouclée !

Et le tapis rouge... c'est de la moquette verte...

Merci à vous tous pour votre soutien et votre confiance. Agostinho

Joli parcours, dommage que si loin... Drapeau jaune mais... L'eau était trop bonne !

Rando... :

Un air de vacances, 4 vaillants marcheurs prennent le départ à 8h30 direction la plage puis sinuent entre blockhaus, dunes et bosquets. Le temps légèrement couvert nous ne souffrons pas trop de la chaleur annoncée. La rando est agréable et facile malgré les petites montées dans le sable. Après 2h30 nous arrivons doublés par les derniers coureurs.

Bon buffet bien garni, offert par l’asso « les galopins » puis nous terminons par un bain de pieds bien mérité.

A refaire. Les Sarasa

SOLEIL, MER, SABLE ET TRAIL… À SOULAC :

Nous partons confiants, vu le temps magnifique. C’est la première fois que nous allons faire cette course. Trail de 15 km pour José, Emmanuel et moi, rando de 6 km pour Martine, Alain, Christine et Joël.

Départ du centre ville, puis parcours fait de chemins, bois, très agréable… mais des côtes !!!! Moi qui pensais que SOULAC était plat… la plage surtout. Après une dizaine de km, Emmanuel me rejoint et nous finissons ensemble.

Puis l’arrivée, après l’effort, le réconfort… un superbe buffet sucré & salé nous attend, le déjeuner est assuré. Mais nous craquons pour des huîtres en bord de mer et un dessert. Nous finissons l’après-midi à la plage, avec d’autres amis coureurs pour la baignade.

Belle journée ! Florence

PS : Bonnes vacances à tous et à bientôt.

Jean 1er Master 5 et à nouveau une 2e place de M2 pour Florence sur le 14 km Trail !

Rando...

5 randonneurs courageux ont pris le départ de cette marche mythique de Bourg. Pas les 500 marches, non, PIRE !!!! 14 km à l’ombre de la vigne, vous ne pouvez pas savoir ce que c’est : ÉPROUVANT !!!! Mais cela n’a pas empêché « Annie » et « Annie » de partir en tête et d’arriver... en tête. Bravo à nos 2 gazelles. Pour Annie, je crois que Jean-Nicolas lui fait boire ce fameux breuvage qui le fait courir encore. Mais pas de contrôle. Elle l’a échappé belle !

Pour Jocelyne, très dure reprise surtout avec un pied douloureux et sans entrainement : beaucoup de courage. Bravo à elle.

Reste le couple Alain et Martine. Nous sommes partis en dernière position mais après avoir accéléré vers le 10e km, nous avons terminé... derniers. Constants dans l’effort, économie de souffle, bref, une rando comme d’habitude. Mais Martine a maudit cette vigne et ce soleil. Pas facile cette fois. Il faudra s’entraîner davantage l’an prochain. Cette année pas de malaise à l’arrivée, mais un petit Muscat de Beaume de Venise porté par Christian et Geneviève dont nous saluons le retour. Christian vient de mettre un terme à sa carrière de footballeur malgré un dernier contrat proposé par les Girondins. Nous les retrouverons sur les chemins dès la reprise en septembre.

Un dernier mot, pique-nique tiré des sacs, un « A la » d’honneur, quelques bouteilles et pâtisseries maisons : quoi de mieux ? Les absents ont encore eu tort mais nous serons surement plus nombreux la prochaine fois.

Salut à tous. Rackham le Rouge

Accompagnants...

Pique-niquer avec les copines et copains dans un beau décor et une si belle journée...

C'est ça profiter de l'instant présent !

Pour nous, Bourg-sur-Gironde reste toujours le top de l'après-course. Christian

Trail 14 km...

Très dure la course. J'ai réessayé de courir avec mes chaussures de trail et j'ai gagné... une grosse ampoule dans chaque pied... :-(     Ça va mieux maintenant !

Bonnes vacances à tous. Fernando

QUELLE BROCHETTE !

Rando... :

St-Aubin fut fort agréable. Les passages dans les bois étaient sympathiques et le soleil ne fut pas trop imposant.
Petit jeu entre Emmanuel et Michael qui ont tenté de faire cette marche le plus rapidement possible sans jamais courir.
Et à la grande surprise de Michael, celui-ci finit 1er de la randonnée sans s'en rendre compte. Une petite bière pour les finishers est venue conclure cette super sortie...

Michael

Rando le retour... :

Après le départ "fulgurant" des coureurs, la marche débute. "Je marche seule" sans avoir (re)connu les 4 autres marcheurs. Normal je pense, puisque ma dernière rando date de Septembre dernier.

Mais pas seule longtemps, une habitante de St-Aubin m'ayant rejointe et nous avons fait ainsi le parcours ensemble, à notre rythme. Beau temps, pas trop chaud. Parcours facile, bien indiqué, plaisant dans ce superbe domaine forestier. Et des organisateurs bien sympathiques.

A l'arrivée, récompense avec une demi-bouteille de bière avant de prendre le chemin du retour... sous la chaleur ! et le plaisir d'être revenue sur les sentiers.

A la prochaine rando ! Jocelyne

TROP BONS LES MONTS DU LIMOUSIN !!

Rando 14,5 ou 18 KM ?...

La randonnée était super ! Les paysages magnifiques, le temps parfait (pas de pluie, ni trop chaud, ni trop froid). Tout était super ! Mais... après avoir séparé les randonnées en 2 (10 km d'un côté et 14,5 km de l'autre) les organisateurs ont dû oublier une balise sur la 14,5 km... ce qui fait que toutes les personnes du 14,5 km ont finalement fait 18 km.

Mais bon, à part ça, c'était super ! Déborah

52 KM, 1600 M D+ ,... Le Grand Trail du Limousin...

C'est en 2012 que nous avons découvert "Les Gendarmes et Les Voleurs de Temps"... encadrée par la Garde républicaine à cheval et la gendarmerie locale où le coureur "balai", un gendarme, gère les barrières horaires ! Ainsi, celui qui se fait rattraper en fin de peloton et tapoter l'épaule par ce dernier serait prié de regagner le vestiaire, la fin de sa participation devenant trop critique.

Par chance et sportivité, aucun de nous n'a été alpagué et a pu rejoindre la ligne, ou plutôt les marches, de l'arrivée !

Peut-être dans ses songes, Déborah a fait l'impasse sur l'affreuse averse de 6h30 qui nous a pourri certaines portions du parcours mais en effet sur la ligne à quelques minutes du coup de pistolet, la plupart d'entre nous quittait son vêtement de pluie, ce fut plaisant et ensoleillé pour le reste de la course.

Malgré le dénivelé, un début plutôt "rapide", 20 km en 2h05, la fraîcheur de la machine et l'excitation de la distance y sont pour quelque chose, j'ai vite fait de me plonger dans les calculs et à ce rythme le périple sera bouclé en moins de 6 h !

Me voilà donc, tel un cabri en pleine pampa limousine, dévalant des chemins pourtant caillouteux mais l'ambiance, les couleurs, les odeurs, la solitude parfois aussi avec la sensation de pouvoir être poursuivi par un ours... marquent le rythme.

Les ascensions, oui... pas de neige ni d'escalade mais ça monte ! Surtout sur la 2e partie du parcours... du coup on oublie les 6 h et on passe en mode "éco", les groupes se suivent en file tels des chenilles, le plus souvent dans le silence, inutile de doubler, Millau en tête, (je ne sais pas encore si je dois remercier Emmanuel et Michael...), c'est la distance qui compte.

Les jambes tatouées jusqu'aux cuisses ont droit à un traitement de faveur en remontant un ruisseau rafraîchissant, impossible à contourner vu la hauteur des berges. En ressentant le fidèle relief des pierres j'ai une pensée douloureuse pour Emmanuel et Michael qui ont enfilé leurs chaussures/chaussettes, au fait sont-elles palmées...???

Une fin de parcours plus calme mais revigorante quand, même à plusieurs centaines de mètres, nous entendons la foule euphorique, elle nous porte tout le long des marches qui mènent à un calvaire (un vrai) pour finir en triomphe sous la banderoles de cette 20e édition.

Et Millau fait son chemin... Agos

Un coup de casquette à Florence qui s'offre un bonus... Après le trail de 20 km samedi, une ptite rando de 14,5 km et des achats de porcelaine le lendemain en attendant l'arrivée des trailers ! Trail + rando + boutiques... à chacun son triathlon...

Coucou vous tous, voici de façon tardive des nouvelles du Marathon de Royan

Comme l'année dernière il a fait très très chaud 35°, même le premier a parlé de longue agonie et a dû marcher.

Nous avions à notre disposition des poubelles remplies d'eau tous les 2,5 km avec une eau un peu trouble. À la 1ère ( bas les bactéries ) mais plus la route avançait, plus la chaleur montait. Après le 30ème km, le désert, bref, on a vite pris un bain dans les poubelles.

Emmanuel